Au Château du Comte (suite)

Chapitre 32

- Alors, est-ce que ta « DIANA » est seulement capable de te donner ce que je viens de te donner amore ? Demanda Annabelle d’une voix sensuelle et d’un air triomphant. 

Viktor ne répondit pas, très agace d’avoir été pris au piège de sa fiancée, elle était douée comme personne pour le rendre fou avec sa bouche et elle le savait parfaitement. 

- Ca n’aurait pas dû arriver ! Grommela-t-il furieux en rebouclant sa ceinture. 

- C’est une plaisanterie pas vraie ? 

- Je ne couche pas avec plusieurs femmes en même temps.

- Tu te sens désoler parce que je t’ai fait une pipe ? Tu as juré fidélité à ta maitresse ?

- Je n’avais pas à le faire. Tu étais sensé vivre ta vie de ton cote et moi la mienne. Tes petites crises de jalousies commencent à m’agacer.  

- J’ai accepté parce que c’est ce que toi tu voulais. Tu peux me dire qu’elle femme insensé accepterait en toute quiétude que son fiancé aille voir ailleurs à quelques semaines de leur mariage ?!

Lasse de se disputer, il commença à ranger ses documents dans sa mallette sans plus lui prêter attention.

- Je suis l’une des femmes qui te connait le mieux, je suis ta future femme. Tu ne pensais pas sérieusement que j’allais rester dans moins quoi et regarder cette…moins que rien me prendre ma place ? Monopoliser ton attention à tel point ou tu ne te rappelle même plus ce qui est important pour moi ? Tu te goure complètement.

- Leonardo est une tombe, je te le répète. Il ne dira rien le secret professionnelle l’y oblige. Je commence à en avoir assez que tu joues les femmes outrée, tu dois me faire confiance.

Comme pique au vif, la jeune femme cessa de s’appliquer son gloss et se retourna.

- Tu penses que je ne l’ai pas remarquée ? Depuis près de quatre semaines, tu ne penses qu’à la…sauter. Je peux bien comprendre que tu aies besoin de nouveauté, dit-elle en s’approchant de lui. Même lorsque nous sortions ensemble à la fac, je donnais mon aval pour que notre relation soit libre, je n’ai jamais voulue que nous tombions dans la routine. Jusqu’à ce que tu t’amourache de cette fausse sainte nitouche de Kara Castelleto.

- Et je suis sensé te remercier ?

- Je… Je ne sais pas ce que tu veux. Je ne pense pas qu’il serait présomptueux de dire que je suis belle, je suis amoureuse de toi juste comme il faut, je sais satisfaire tous tes fantasme, nous somme de la même classe social, nous avons des niveaux d’études similaires et je comprends tes affaire mieux que personne nos parent et nos familles s’apprécie depuis des siècles…autrement dit, nous sommes le couples idéale. Je suis même prête à te donner un enfant maintenant alors que ce n’était pas dans mes projets avant au moins trois ans.

Viktor ne rétorqua rien. Il avait parfaitement conscience que tout ce qu’elle disait était la vérité, peut d’homme avait cette chances dans son milieux. Cependant il manquait un petit quelques choses ; ce petit quelque chose qui l’avait toujours poussée à aller voir ailleurs bien qu’il était en couples. 

- Je t’ai toujours aimé, je t’ai toujours été fidèle même lorsque nous nous convenions des écarts. Tout ce que je te demande en retour c’est un peu de considération.

- Ont vas se marier et je t’ai promis que jamais je ne  tromperais ma femme.

- Ah oui ? Tu es vraiment sur que tu vas te marier ?! Si je me souviens bien ça fait deux fois que tu renvois cette date sans mon accord, sans te soucier de ce que je peux ressentir, sans te soucier du fais que tu m’humilie. C’est pour elle ? Tu es amoureux d’elle ?