Le cour c'était passé si vite que Diana ne s'en était même pas rendu compte. Honnêtement elle n'avait pas écouter les explications du professeur Lutter trop absorber par ce qui c'était passé se matin derrière le campus. Ses joues viraient au cramoisie à chaque qu'elle se souvenait avec embarras de comment elle s'était laissé aller à ses baisers sauvages et comment son corps avec répondu avec une ardeur dont elle ne se connaissait pas à ses caresses. La chaleur dans son bas ventre n'avait toujours pas disparue pour cause Viktor avait employé les grands moyens ; certains qu'elle s'y connaissait tout de même un peu en passion charnelle.
Diana sorti de sa rêverie se promettant d'être attentive aux prochaines cours et demander les notes de celui-ci au bien aimé délégué des élèves car Pedro lui ne rattrapait pas la chimie analytique. D'une main paresseuse, elle s'évertua à fourré honteusement les papiers formats vierge qui ne l'avait aucunement servie dans le classeur à document et jetta sans management ses multiples stylos à billes dans sa trousse avant de se lever.
L'amphi théâtre était presque vide ; seul demeurait encore les filles de la silicone valey discutant d'un projet pour ce soir. Bien évidemment ! Comment aurait-il pû en être autrement ? Vu la colonne de notes catastrophique qui s'étalaient dans le relevé d'Alice, Diana avait pensé qu'elle réduirait sa fréquence de sortie vu que les examens trimestrielles approchait mais il faut bien croire que non.
Sans s'en rendre compte elle les toisait depuis un bon bout de temps. C'est seulement lorsqu'elle s'était toute retournées pour la dédaigné du regard qu'elle en avait pris conscience mais trop tard. La madone s'approchait déjà.
Apeuré de savoir que leur discussion allait l'attirer des ennuis, Diana serra son classeur contre sa poitrine comme un bouclier puis se mit à marcher.
- Hé attend ! S'écria celle-ci d'une voix moins agressive qu'elle l'aurait cru.
Diana s'arrêta sans toute fois lui faire face et haussa les épaules en guise de questionnement. Ce calme n'était pas en accord avec la nature capricieuse et violente d'Alice.
- Heu, j'ai entendu certains bruit dans les couloirs comme quoi tu connaîtrais Pryanka Di Handreas.
Le dédain qu'elle avait ressenti dans la voix de cette mégère quand elle avait prononcé le nom de Pryanka la révolta si bien qu'elle lui fit volte face sans plus attendre. Pryanka était sa meilleure amie, hors de question qu'une parvenue la méprise en sa présence.
- C'est une chère amie à moi en effet.
Une lueur malicieuse s'eclaira au fond des iris azure d'Alice. Une lueur qui ne présagait rien de bon.
- Parfait, murmura-t-elle en lui tendant deux cartes. Je fête mon anniversaire dans deux semaines au Costa-Paraizo c'est la boîte de nuit la plus branché du moment et vous y êtes invités toutes les deux. Le thème c'est le moyen orient. Vous y trouverez tout les détails sur la carte.
Ne s'attendant du tout pas ce revirement brutale, elle regarda les cartons avec incrédulité.
- Pourquoi m'inviter alors depuis qu'on se connait tous ce que tu cherches à faire c'est m'écraser, demanda-t-elle en haussant les sourcils. Et vue le ton que tu emploi lorsque tu parles de Prya tu ne l'aimes pas non plus.
Alice fit la moue et pencha sa tête de côté.
- Quelqu'un m'a dit de me plonger dans de nouveaux horizons et c'est ce que je fais. Tu n'es finalement pas si moche que je pensais.
- Merci, grommela-t-elle à contre cœur.
Pour elle il était totalement hors de question qu'elle se rende à cette fête mais elle ne devait sûrement pas contrarié Alice à qui ont ne disait jamais non. Elle trouverait bien une excuse le jour venu. Si Pryanka revenait avant cette date elle lui remettrai volontiers les cartons.
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Au Château du Comte (suite)
RomanceLorsque Diana Evans arrivé dans la demeure qu'elle est sensé habité pour entamé ses études de médecine elle tombe de haut en réalisant où elle se trouve vraiment. Le fameux château de Florence. Des lors elle se retrouve à mené une guerre sans merci...