Lorsqu'une semaine plus tard Diana retourna en cours, une étrange sensation l'étreignait; Elle avait l'impression que quelqu'un la surveillait mais chaque fois qu'elle essayait de découvrir qui, il n'y avait plus personne. Les photos du lancement du parfum faisait jusqu'à aujourd'hui la une des magazines et d'après Pryanka les ventes explosait. De quoi contribuer à rendre Viktor Di Handreas plus riche et plus détestables.
Mais quel culot !
Elle ne parvenait toujours pas à comprendre pour quelle raison elle ne lui avait pas donné la gifle de sa vie. Mais enfin qui faisait ce genre de proposition indécente sans aucune once de gêne?
Et qu'est-ce qui lui avait pris de répondre à ses baisers quand il l'avait retrouver dans la chambre entrain de s'habiller ?!
Mon Dieu il fallait qu'elle voye un psychologue parce que ça n'allait vraiment pas bien dans sa tête.
Elle feuilleta le magazine qu'elle avait emprunté à Prya espérant se divertir avant la pause déjeuner mais son regard tomba directement sur la photo du Comte.
— Mais c'est pas vrai quoi, jura-t-elle en dépassant la page avec hâte. Je ne veux plus le voir.
Mais incapable de résister elle revint en arrière dans le but de lire l'article sur lui.
"Un homme d'exception" lu-t-elle en regardant si quelqu'un ne l'espionna pas. Il était hors de question qu'on la prenne pour une de ces groupie sans cervelle donc l'obsession et la raison de vivre était de le voir.
Son regard fût irrésistiblement attirer par son sourire ; ce drôle de sourire arrogant mais tellement sexy. Elle était attiré par lui c'était indéniable mais hors de question qu'elle lui cède. Il ne sera pas plus qu'un Brad Pitt ou un Henri Calvil dans sa collection d'homme impossible à avoir.
Elle commença à lire l'article lorsque soudain ont le lui arracha des mains.
— Hé...
Pedro s'assis à côté d'elle et commença à lire à son tour.
— Ne me dit pas que toi aussi tu craque pour ce sale type Diana ?!
Son regard haineux lui donna parfaitement la nature de ses rapports avec Viktor. Pas étonnant qu'on l'ait pensé capable de tout pour le nuire.
— Je suis tombé dessus par hasard, se justifia-t-elle mal à l'aise. L'article m'a paru... intéressant.
Son regard fuyant et coupable ne trompait personne, même pas Pedro qui jeta le magazine sur le sol en piétinant exprès la photo de Viktor Di Handreas.
— Vous êtes toutes stupide de ne pas voir sa nature profonde. Ce type n'est qu'un clochard, un escroc doublé d'un meurtrier qui utilise son putain de titre de noblesse et la fortune de son père pour blanchir de l'argent sale.
Diana se leva comme piquer au vif et le fusilla du regard.
— Qui à bien pu te dire toute ces bêtises ?! Pedro je déteste qu'on calomnie les gens sans aucune preuve. Comment peux-tu porté de telle allégations contre lui ?! Viktor ne ferai jamais...
— Viktor ?! La coupa-t-il avec rage en lui empoignant le bras. Tu le connais ?!
Se rendant compte que leur discussion attirait déjà du monde , elle s'arracha de son emprise et se rassit calmement mais ayant la ferme intention de n'écouter aucune de ses remarques déplacer.
Le Comte était un homme honnête et travailleur ; elle l'avait vu en action une bonne vingtaine de fois. Sacrifiant parfois ses nuits de sommeil pour boucler des dossiers importants.
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Au Château du Comte (suite)
RomansaLorsque Diana Evans arrivé dans la demeure qu'elle est sensé habité pour entamé ses études de médecine elle tombe de haut en réalisant où elle se trouve vraiment. Le fameux château de Florence. Des lors elle se retrouve à mené une guerre sans merci...