Chapitre 30

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- Viktor, soupira-t-elle à bout de souffle. J’ai peur que…oh…Il ne lui laissa pas finir sa phrase et la retourna de nouveau pour qu’elle soit face à la fenêtre puis commença à lui mordiller l’oreille.

- Tu n’as aucune raison d’avoir peur ma chérie, tu es avec moi.

- Et si…si…si je ne suis pas assez bien pour toi ? Cette situation est en elle-même incroyable. Je n’aurais jamais pensé que je puisse t’intéresser avant que tu n’essaie de m’embrasser dans le bureau. Et puis, tu te montres tellement impatient que je ne sais pas quoi en pensé. On n’était sensée le faire ce soir.

- Tu n’en a pas envie ?

- Bien sûr que si ! Murmura-t-elle honteusement. Mais j’ai le droit de me poser des questions nor ? Ce n’est pas comme si tous les jours je perdais ma virginité.

- Tu veux vraiment qu’on remette le sujet sur le tapis ? Tu veux que je te redise à quels points tu es belle et sexy ? Que tu me rends fou ? Ou tu préfères que je te montre ?

Diana se décrispa progressivement en lui laissant continuer son entreprise. Il rapprocha leur corps un peu plus en plaquant son bras sous son bas ventre. Leur vêtement n’était presque plus un obstacle car Diana pouvait sentir chaque nuance de chaque fragrance qui se dégageait de sa peau ; ses frissons ; sa respiration ; tout.

Un hoquet de stupeur se transformait en braise ardente lorsque sa main remonta insidieusement  dans son haut moulant, laissant des frissons délicieux sur son passage pour enrober  un de ses seins d’un geste brusque mais terriblement sensuelle. Les souvenir de la dernière fois, sa bouche dévorant ses seins acheva de l’égarer dans les abimes de la passion et les gémissements qu’elle contenait commencèrent à s’échapper à des fréquences régulières.

Pourtant ils n’avaient encore rien fait. La même chaleur mesquine qui irradiait son bas ventre chaque fois qu’il la touchait se fit plus intense et plus dévastatrice encore. Sa féminité n’était plus qu’un brasier. Une fois de plus, il abandonna son sein et la retourna sans aucune délicatesse.

Il la regarda un instant les yeux luisants, inclina son menton vers le bas, puis inséra perversement sa langue douce et humide dans sa bouche. Ce baiser dura jusqu’à ce que le souffle les manque chacun et ils se détachèrent tout tremblant. Il semblait ne plus pouvoir contenir son excitation. D’une main experte, Viktor défit sa queue de cheval et laissa sa magnifique chevelure rousse cascader sur son dos.  Il n’avait plus qu’une hâte; qu’elle soit nus, mais il ne voulait pas l’effrayer.

C’était bien la première fois qu’il se contenait pour prendre une femme car s’il écoutait la bête en lui, elle serait déjà sur le tapis en train de se tordre sous les assauts de son sexe qui ne demandait que ça.

- Lève les bras, ordonna-t-il.

Et comme une automate, elle obéi lui laissant ainsi le loisir de la débarrasser de son haut. Ce n’était pas la première fois qu’il faisait face à ses seins mais il ne pouvait s’empêcher d’êtres encore émerveiller par ces deux renflement parfait qui pouvait donner l’envie de les dévorer tout entiers même dans les soutiens gorges les plus disgracieux. Il dégrafa celui-ci sans plus tardé et s’inclina longuement pour les honorer.

Elle passa les bras autour de son cou pour lui donner l’accès complet et il ne se priva pas d’en abuser. Elle luttait, se débattait mais sa bouche ne pouvait plus s’arrêter de marquer cette ravissante poitrine laiteuse qui était totalement à sa merci. Il n’avait jamais connue une telle extase devant de simples seins, à eux seuls, il pourrait sans mal le faire jouir.Son sexe devint douloureux dès l’instant où il y pensa, lui rappelant cruellement qu’il était hors de question qu’il se déverse autre part que dans sa petite chatte. Pour l’instant.Tout se passa très vite ; il l’intima de resserrer son emprise autour de son cou, passa ses bras sous ses cuisses, la souleva puis la déposa  sur la table de chêne sur laquelle ils prendraient probablement leur repas après ce petit moment délicieux.  Il se mit à une certaine distance entre ses cuisses et de  nouveau, il pressa ses lèvres sur les siennes. Ses doigts long et épais se dirigèrent tout naturellement vers son pantalon, défit les boutons et la fermeture d’une main habile puis s’écarta d’elle pour le glisser les longs de ses magnifiques jambes soyeuses. Elle s’éloigna rapidement du bord de la table, étourdie, la respiration erratique prenant soin de replier ses jambes contre sa poitrine pour cacher son corps déjà presque nu.- Laisse-moi voir à quel point tu es magnifique  bébé. La jeune femme hocha la tête négativement mais complètement enflammé et confuse. Viktor en conclu que sa pudeur essayais de prendre le dessus et ça il ne le permettra pas. D’un geste fluide, il la ramena au bord de la table et l’embrassa encore. Sa main libre commença à jouer avec l’élastique de son tanga qui sois dit en passant la rendais diablement tentante. Elle s’extirpa de son baiser en gesticulant ce qui lui permit en une fraction de seconde de la débarrasser de ce dernier tissu qu’elle avait sur le corps. Ça y est, elle était complètement nue. Pour son plus grand plaisir. Consciente de sa totale nudité, elle se colla plus étroitement contre son torse pour se cacher ce qui le fit sourire.

Au Château du Comte (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant