Chapitre 35

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Salut tout le monde!

J'aimerais préciser que quand je dis que je vais publier, c'est l'un de mes deux bouquins. Je travaille 11 heures par jour et six jours par semaine donc je n'ai pas beaucoup de temps.

Je tiens cependant à maintenir un certain rythme( un chapitre sur les deux jours notamment) pour ne pas vous laisser tomber. J'espère sincèrement que vous comprenez.

Xoxo et bonne lecture.


Marchant d’un pas déterminé, Viktor traversait les nombreux couloirs sans se soucier de l’image qu’il renvoyait. Il était bien conscient de rendre la vie dure à tout le monde, c’était dans sa nature de rependre son humeur à tout le monde. Il refusa catégoriquement d’admettre que s’il était pire qu’avant, c’était à cause de sa rupture avec la jeune femme dont la seule pense lui faisait une trop grande remonter de nostalgie. Sur le moment, il s’était  convaincu que c’était le mieux pour limiter les dégâts, ce qui n’avait pas du tout marché. La seule responsable de toute cette affaire dans laquelle il s’était embourbé c’était bel et bien lui. Le regrettait-il ? Comment alors qu’il n’avait jamais aimée autant faire l’amour a une femme ? Alors qu’il n’avait jamais autant désiré une femme ? Mais il savait dès le départ qu’en tant que jeune femme inexpérimenté, la séparation serait plus difficile qu’avec toutes les autres. Il avait agis égoïstement  car elle l’avait supplié à de multiple reprise de ne pas l’entrainer dans cette relation. A cette époque il ne réfléchissait pas avec son cerveau mais avec son entre jambes.

Zayn allait lui casser la figure.

Fusillant encore un groupe d’employer qui rigolait dans le couloir, il s’arrêta brusquement pensant halluciné. Elle ne pouvait réellement êtres là. 

Il rebroussa chemin de quelque pas et regarda plus en d’attention la jeune femme rousse aux jambes magnifique et à la petite robe vert et qui souriais avec Giacomo.

Que faisait-elle ici ? Qu’est-ce qu’il lui disait ? C’était les deux seule questions qui traversaient son  à mesure qu’il s’approchait du couple. 

- …Je possède moi-même un club, le Costa Paraiso, vous connaissez ? Sinon Pryanka pourrait peut-être vous emmener un soir…

- Qu’es ce que tu fais la Diana? Commença-t-il sans une autre forme de procès. Il se plaça derrière elle, face à son ami le fusillant du regard sans la moindre discrétion.

Elle se retourna tout doucement et lorsqu’elle l’aperçu, son magnifique sourire s’éteint et elle se mit à l’écart de lui de gêne.  Ca le mit en rogne. Il était évident qu’elle était en train de se faire draguer, il connaissait Giacomo.

- Tiens Viktor ! J’aimerais te présenter…

- Je sais qui c’est, coupa-t-il tranchant ce qui fit légèrement froncer les sourcils au sicilien.

Il avait conscience d’agir comme un tigre qui protégeait son territoire mais il ne pouvait pas laisser Diana se jeter dans la gueule d’un autre prédateur de la même espèce que lui.

- Euh, j’étais sensé déjeuner avec Pryanka mais elle avait d’abord des documents à signer aux ressources humaines.

La raisons de leur dispute violente de la matinée. Au moins elle avait eu la décence de l’écouter. 

- Carry ?! dit-il a l’intention de l’assistante de Maïté qui passait a l’instant dans les couloirs. 

- Si signore ?!

- Conduisez mademoiselle dans mon bureau et servez-lui une tasse de café.

- Mais je peux très bien attendre ici, tenta-t-elle de protester. Pryanka risque de ne plus tarder et…

Au Château du Comte (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant