Chapitre 22

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Salut à tous ! Je vous prie de m'excuser pour n'avoir pas publiée la semaine dernière mais je compte me rattraper cette semaine.

Merci pour votre compréhension, je vous adore.




Le corps en sueur et la respiration erratique, Viktor sortit de la salle de sport les muscles saillants et plus revigoré que jamais. Six heures de sommeil et cette séance intense d'abdos avait au moins eu le mérite de lui redonner son embonpoint. Il se dirigea vers sa salle de bain italienne et glissa sous la colonne d'eau, sans prendre la peine de se déshabiller au préalable.

Après s'être dénudé, il étira longuement son corps sous les jets d'eau puissant, faisant craquer ses os et tendant ses muscles presque douloureux.

Trois jours !

Il venait passé trois jours son esprit totalement accaparé par une femme s'en pouvoir s'en empêcher ; Dio! même pour lui une chimère.

Dès l'instant où le chef de la fabrique de Californie Crowley Davis l'avait contacter de toute urgence à propos d'un incendie grave qui avait entraîné des conséquent dégâts matériaux et peut-être humain, il avait sauté dans son jet comme un fou  et s'était envolé vers les États-Unis sans un mot pour personne. La colère l'avait envahi car ceci contrariait tout ses plans avec la jeune femme mais il n'avait pas d'autres choix. Il aimait réglé les problème de cette envergure de lui même car il ne pouvait pas faire confiance à l'acharnement des médias pour tué l'incident dans l'œuf.

Quel surprise de constater que malgré l'inquiétude qui le tenaillait, sa main avait triturait son téléphone avec une terrible envie...non un besoin de l'appeler; d'appeler Diana Evans et de la proposer de venir avec lui.

Ridicule !

Il s'était senti si... attaché et si malléable a cet instant que personne n'aurait pu calmé son amertume. Il avait balancer sont téléphone à l'autre bout de l'appareil jurant et aboyant au pilote de décoller et fusillé du regard quiconque l'interrompait pour quoique ce soit. C'était tout nouveau pour lui; pensé à une femme pendant le travail. Aucun plaisir ne passait jamais avant son travail, c'était la règle d'or.

Et ça ne c'était pas arrêté la. Il avait passé la soirée et le jour suivant à tempéré le déchargement médiatique car l'incendie n'avait heureusement fait que deux blessés bien que les dégâts matériaux étaient important. En suite il avait voulu s'accordé un pseudo jour de repos qui n'avait visiblement pas marché tant sa tête était obstinément occupé par des images de la jeune femme qu'il voulait pour maîtresse; ça tournait dangereusement à l'obsession et cette pensée l'agaçait. Il s'était donc résolu à rentrer au plus vite pour la séduire comme il l'avait promis; avant que ce désir ne le rende complètement fou. Mais malheureusement il avait croisé Damian Conti, un ancien camarade de lycée et celui-ci l'avait supplier de faire un don pour la fondation familiale qu'il dirigeait. Bien que décidé à rentrer ses plans c'était vu contraints par celui-ci qui lui avait imposé une soirée pendant laquelle les généreux donateurs recevait en fonction de leur contribution un animal exotique en souvenir.

Viktor avait tout de suite repéré ce petit canin à la fourrure aussi flamboyante que la chevelure de la femme qui le hantait. Ses levres c'était fendu d'un rictus inattendu le surprenant par la même occasion car il venait de décidé que cette bête sera à lui. Il le lui offrirai.

Difficile de surenchérir sur cinq cent mille euros ; il avait donc naturellement gagner attirant ainsi l'attention de ces petits bourgeois américain qui c'était tous jetté sur lui comme de la charogne voulant probablement étendre leur patrimoine. Dommage qu'il ne fut interressé par aucune offre.

Au Château du Comte (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant