Chapitre 40

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Salut tout le monde ! Désolée pour mon silence mais j’ai dû faire un petit voyage la semaine dernière et je n’étais pas en position de rédiger quoi que ce soit. Bonne lecture.

Xoxo



Timidement Diana ouvrit la porte de la maison de son amie espérant de tout son cœur qu’elle se soit calmé.  Elle entendit des bruits de couvert et de petits jurons à la cuisine et se dirigea à petits pas vers celle-ci. 

Une fois de plus, elle apprécia la décoration de la magnifique cuisine style français épurée dans laquelle qui avait suscité la fierté de son amie … Bref, elle jugula son stress en regardant de tous les côtés. Pryanka était près de la gazinière remuant énergiquement une substance marron et visqueuse dans la poêle.  Elle semblait un peu plus calme et reposer que la veille mais les cernes qui se dessinait sous ses yeux traduisait la difficulté qu’avait été sa nuit.

- Bonjour, salua-t-elle. 

Elle se figea légèrement et cessa de remuer.

- Tu es la ? Demanda-t-elle en relevant la tête comme si elle ne l’avait pas entendue. Ou as-tu passé la nuit ?

- Je… j’étais chez Ivan, répondit-elle en se raclant la gorge. Il voulait discuter seul à seul avec toi hier soir. 

- Tu sembles radieuse ce matin. 

Diana déposa son sac à main sur le plan de travail et se rapprocha d’elle. 

- Comment ça c’est passer avec lui?

- Pourquoi veux-tu que je t’en parle alors que toi tu me caches des choses ? Tu n’as visiblement pas confiance en moi… je ne sais pas peut-être me prends tu pour une snobe ou…

- Jamais  Prya.

- Alors pourquoi me l’as-tu cacher ? Tu es ma seule confidente et je pensais naïvement que c’était réciproque. Quand tu n’as pas voulue me dire le nom de ton petit ami jamais je n’aurais imaginé que ça pourrait être Viktor. 

- J’avais honte de te le dire. J’avais peur que tu me juge parce que ton frère est fiancé et que tu t’éloignes de moi.

- Que moi je te juge ? Tu es en train de parler à une fille qui est amoureuse de son presque oncle. Tu crois sincèrement qu’on pourrait faire pire ? Et puis toute la famille connait comment fonctionne la relation tordue d’Annabelle et Viktor.

- Je suis désolé Prya. Tu es ma meilleur amie et c’est la seule vérité sincère que pour laquelle je suis sure a cent pour cent. J’ai juste était stupide et trop tétanise par la peur de te perdre. Je n’ai que toi ici…

- Oh je t’en prie Diana ! 

Elle éteint le  feu et se mi fasse à elle.

- J’aurais dû m’en douter, j’ai vraiment été aveugle. Toute les fois où tu disparaissais concordait avec les manquements aux obligations de mon frère lui pourtant si bourreau de travail. Tu sais j’ai pensé qu’il y avait une femme mais je me suis dit que jamais il ne s’était laisser distraire par l’une d’entre elles. Et comme je connaissais le type de femme avec qui il s’acoquinait j’ai vite repoussé cette hypothèse ne voyant aucune photo dans les magazines à scandale. J’ai même pensé qu’il avait des problèmes de jeux.

- Grand Dieu, Jamais Viktor ne se laisserais emporter par quoi que ce soit.  

- A part toi tu veux dire. Mais comme il aime le risque, qu’aurais-je pu penser d’autre ?

- Je te promets de ne plus jamais rien te cacher Prya. Mais ne me rejette pas. Hier je n’ai pas pu être là pour toi et je n’ai fait qu’en remettre une couche alors que tu souffrais. Je suis désolé… 

Au Château du Comte (suite)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant