Imagines tome 2 (aucune commande)

August/ Pinocchio

Un homme a traversé la forêt, probablement à la recherche d'indices sur la façon dont il s'était même retrouvé là-bas.

Il ne savait pas que je regardais ; personne ne l'a jamais fait.

Je regardais dans l'ombre, me cachant derrière un camouflage de feuilles et de terre. Cela a aidé que ma cape soit d'un vert tacheté, parfait pour les feuilles vertes qui m'entourent au sommet de l'arbre que j'habitais actuellement.

Était-ce l'homme que je cherchais ? Non, bien sûr qu'il ne l'était pas. L'homme que je cherche est en bois. C'est l'homme que je tuerai.

Ce n'est pas cet homme. Alors il est en sécurité, non ?

Je décide de lui demander mon chemin. Qu'est-ce que ça pourrait faire de mal après tout ?

Rampant hors de ma place dans le bois, je le vois sursauter de surprise en me voyant. je sauterais aussi; Je suis couvert d'assez de terre pour couvrir une fourmilière. Ses mouvements sont rigides, mais les miens sont fluides.

Je me pavane vers lui, agissant comme une femme normale du mieux que je peux.

Je ne suis pas normale; Je suis une meurtrière. Une assassin. Une tueuse de personnes.

- Je cherche un homme fait de bois. Savez-vous où je peux le trouver ? 

Une ombre passe sur le visage du jeune homme, mais elle disparaît aussi vite qu'elle était apparue au départ.

Mon visage était encore couvert de terre et apparemment une feuille était coincée dans mes cheveux. Je ne connaissais pas ce dernier jusqu'à ce que l'homme tende la main et me l'arrache de la tête, l'émiettant dans sa main.

- Je ne connais pas d'hommes de bois, mais je sais que tu as besoin de soins médicaux. Il pointe du doigt une coupure béante que j'avais reçue la semaine précédente lors d'un combat à l'épée. Il était vert maintenant et semblait infecté. La croûte qui la recouvrait était sombre.

- Merci, ce serait très apprécié. Est-ce que quelqu'un habite près d'ici ? Je devrais le faire panser. 

- En fait... je le sais. 

- Oh. Eh bien, je ne veux pas m'imposer... 

- Non, non, ce n'est pas un problème. Allez, je vais te montrer là-bas. Tu peux rester jusqu'à ce que tu sois guéri ou aussi longtemps que tu en as besoin. Peu de gens passent de toute façon. 

J'acquiesce et commence à traîner derrière lui, me frottant légèrement l'épaule d'inconfort.

- Comment t'appelles-tu, jeune fille ?

- T/p, et quel est le vôtre ? 

- Je suis August. Je porte d'autres noms, mais ces noms n'ont pas d'importance pour le moment. Nous y sommes presque, allez. 

Le cottage au loin est petit, mais il a l'air chaleureux. Son jardin est envahi par la végétation et la finition en bois a besoin d'être améliorée, mais elle a l'air charmante.

Nous marchons encore quelques minutes avant de l'atteindre. August ouvre la porte et j'entre la première. Une table avec deux chaises est poussée contre le mur latéral gauche, et à droite se trouve une collection de livres.