Au-delà des collines

III ) 𝙞𝙣𝙨𝙞𝙢𝙪𝙡

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• Le soir. 19h.
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. PDV Venti.
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Les quelques rayons du soleil de la brise m'illuminent les pupilles, et c'est avec le sommeil lourd que je me réveille.

En fait, il me semble que le sommeil m'ai pris, alors que j'observais aux alentours pour attendre celui qui me faisait poireauter.

Il semble que j'ai dû dormir.. quelques heures à peine, sentant mes paupières se refermer et que je m'endormais presque à en tomber dans la fontaine.

Bien évidemment, je mettais réveillé.

En fait, je n'ai pas grand sommeil.

À vrai dire, alors que je sortais de cette taverne, à moitié bourré, j'avais pour simple envie de me reposer.

Seulement, il en va à dire que je suis plus actif qu'un être endormi. Ce que je comprends parfaitement.

Je pense, selon moi, que le fait de s'allonger, plonger dans l'obscurité totale et s'en aller aux pays des rêves est ennuyeux.

En fait, je ne dors que 4 heures. Quelque chose de famille, ou bien quelque chose venant de ma propre personne..

Il est actuellement 19h et j'attendais. Je scrutais les passants, les jeunes enfants s'amuser et les autres plus grands discuter.

Et j'étais là, au pied de cette statue, à attendre celui qui me faisait patienter.

Cependant, je fus surpris de voir que cette nuit-là, je n'avais pas dormi.

Je ne suis insomniaque, loin de là, mais rien que l'idée de fermer les paupières m'importe peu. Et je pense étrangement que cette nuit-là, j'ai réussi à résister au sommeil.

Grâce à lui.

Je ne sais pourquoi, ni comment, mais cette nuit-là, sa présence m'était comme.. Différente.

Alors que je me levais pour m'étirer, je sentais quelqu'un me tapoter l'épaule.

— « Venti. »

Une présence, dirais-je, protectrice.

Je me retournais et lui souriait.

Surprenant encore, je le voyais me sourire à son tour, contrairement aux nombreux regards noir qu'il m'eut lancé, lorsque nous avons trinquer.

Depuis ce matin, c'est ce que j'admire chez lui. Et je pense, d'ailleurs que ce Xiao pourrait devenir.. un de mes amis.

Mais il y avait quelque chose, une aura, un pouvoir, un ressenti, qui semblait provenir de lui, et qui me faisait le plus grand bien.

De la confiance, quelque chose comme ça.

Je ne sais pas pourquoi, mais depuis mon enfance, les chats sont la phobie. Stupide comme je suis, je suis malheureusement incapable d'expliquer pourquoi.

C'est alors, comme seule solution, que je me dis que je suis seulement allergique. Rien que les approchant, je sens mon nez chatouiller et j'éternue jusqu'à ne plus m'arrêter.

Et malheureusement pour moi, j'observais depuis quelques minutes cette.. Bestiole à quelques mètres s'approcher à chaque instant qui passait.

Pour revenir au principal, j'ajouterai que d'ailleurs, moi n'ayant l'instinct maternel du repos, il me faut tout de même dormir, pour combler ma journée remplie de farfelues activités.

Et même si, il faut l'avouer, je ne fais rien de mes journées, il est normal pour moi de me reposer.

Puis, peu après, il se trouvait à s'asseoir près de moi, alors que cette proximité que nous avions s'était dissipée.
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PDV Xiao.
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Peu après, nous marchions sans nous arrêter, au travers de Ventlevé.

Venti, lui-même, connaissait mes peurs et faiblesses. Il me semble que nous en avions parler, durant un moment où nous marchions.

Moi, je ne connaissais les siennes. Je savais par exemple, qu'il n'aimait pas les chats. C'était quelque chose que j'avais appris, lorsque je l'avais observer, en l'ayant retrouvé.

C'est assez étrange, mais quand j'y pense, cette bestiole est étrange. Aussi bien par..Sa peau, que sa couleur et sa façon de se déplacer.

Enfin, nous avions parlés.

Je lui ai transmis mes passions, ce que j'aimais et ce que je détestais. Et il eut transmis les siennes même si je le savais.

J'aime le tofu, ou encore la brise de Liyue.

Ou bien les Monts Hu Lao, et la vue que j'ai d'en haut.

Et c'est ainsi que je n'avais plus peur.

Parce que je ne ressentais plus cette douleur.

Le seul, véritable dont j'ai entièrement confiance.

Celui qui m'eut sauvé avec persévérance.

Effectivement, j'ai pleins d'autres personnes de confiance.

J'ai le voyageur, ou encore Morax.

Mais Venti, est différent.

Je ne saurais l'expliquer.

Et cette nuit-là, j'ai su qu'en réalité, je ne le connaissais.

Son âge, son nom, ses goûts, j'en savais les réponses.

Je savais qu'il avait par exemple 4000 ans, ou bien qu'il se prénommait Venti car il était Barbatos. Ou encore qu'il adorait les Cecilias et qu'il détestait les chats.

Mais ce que je ne connaissais, c'était ses peurs.

Ces choses qui l'effraie, le terrorise, lui glace le sang.

Je n'en connaissais la réponse.

Bien même, Venti pouvait n'avoir peur. Même en tant qu'archon, quelque chose le terrorisait-il ? Avait-il une crainte dont je ne connaissais le nom ?

Moi-même, en tant qu'adepte, puis-je me permettre de l'être ?

Ai-je ce droit d'avoir peur ?

Ou bien, ai-je ce droit d'avoir de la douleur ?

Ai-je le droit d'être rempli de ce sentiment au travers de mon coeur ?

Cette nuit-là, j'eu ma réponse..

Après quelques temps à s'être promenés, j'eu décidé qu'on devait s'arrêter.

Finalement, nous avions opter sous l'arbre de Ventlevé, puisque qu'il me disait que c'était un de ses endroits préférés.

Posant directement mes fesses sur l'herbe, j'observais Venti faire de même.

Et le sommeil lourd, mes yeux se fermaient.
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900 mots.

Insimul : ensemble (lat).