XXIV ) 𝙙𝙚𝙨𝙞𝙙𝙚𝙧𝙞𝙪𝙢

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. 🔺 Ce chapitre contient des caractères sexuels.
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Je souris, une enième fois, le poussant vers le duvet se laissant tomber.

Je me mets sur lui, plaquant mes mains autour de sa tête, car il m'appartient.

Il le sait, sans moi.. Il n'est rien.

Et de même pour moi.

J'embrasse doucement sa nuque suçotant chaque partielle de peau l'humidifiant et créant un suçon bleuâtre pour marquer mon territoire.

Venti je t'aime, je te veux, je te possède, tu n'as pas d'échappatoire.

J'embrasse ses pectoraux, remontant ses jambes pour les écarter et me placer à l'intérieur.

Puis je les embrasse, laissant des baisers mouillés pour l'exciter.

Venti gémit, et je sens sa peau coller à la mienne, le voyant transpirer.

Il semble vouloir continuer, et je commence à le déshabiller.

Il semble tourner le regard et pointer la porte à côté.

— « La porte n'est pas fermée..? »

J'observe à mon tour ce qui attire son attention, et le colle plus à moi en remontant de mes doigts son menton.

— « Personne ne va rentrer, d'accord ? »

Il hoche la tête, pas très rassuré.

— « Tu veux que j'aille quand même la fermer ? »

Je le vois acquiecser, alors que je me lève pour faire ce qu'il m'a demandé.

Je reviens vers lui, me couchant sur le lit, et attrapant les hanches Venti pour les coller aux miennes.

Sa peau contre la mienne, me rend presque fou, que je pourrais en perdre la raison.

Je le sens bouger ses hanches contre les miennes, attendant probablement que je commence.

— « Du calme, petit impatient. »

Il sourit, écartant les jambes pour m'exciter encore plus qu'il ne le fait.

Oh mon dieu..

Venti..

Je te veux..

Je décale une de ses mèches de cheveux, et chuchote dans son oreille dans le creux.

— « Es-tu prêt..? »

Il hoche la tête, posant rapidement ses lèvres contre les miennes.

Je serre la pression sur une de ses cuisses, la marque de mes doigts présente sur sa peau blanchâtre.

Délicatement, je caresse son orifice, le voyant perdre déjà ses moyens gémissant comme-ci mes caresses sont des supplices.

— « Venti.. Je vais y aller, doucement.. »

Il hoche la tête, encore, en me remerciant.

Je le sens poser la tête sur l'oreiller, et me laissant, rien que moi, le posséder.

J'écarte ses fesses et le pénètre, d'une douceur que je ne pourrais jamais recommencer.

Je bouge en lui, des tonnes de sensations me parcourant que je ne pourrais expliquer.

C'est.. si bon..

Je gémis, je ne me gêne pas, je crie, l'accompagnant dans ses gémissements qui ne sont pas prêts de s'arrêter.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant