XVII ) 𝙥𝙪𝙜𝙣𝙖𝙧𝙚

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PDV Venti.

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J'apercevais le bain rougeâtre et cette.. Personne devant, le sang coulant de ses bras.

Sous le stress, je me dirige vers le rouquin, et je l'approche près de moi.

Il semble aussi blessé que Xiao, voir plus, de dizaines de griffures sur le corps ainsi que le sang coulant à flot.

J'aperçois également la lame de Xiao dans son dos..

Attends..

Il l'a.. Transpercé ?

Je caresse le dos du rouquin qui semble plutôt désemparé.

—  « J-Je m'appelle Tartaglia, 11e exécu -»

Je ne lui laisse pas le temps de parler, que je retire la lame, l'entendant crier.

—  « Pardon Tartaglia.. Je vais te soigner. »

Je le vois secouer la tête, regardant dans la direction de Xiao.

Comment.. Xiao a pu faire ça..?

À vrai dire, lui aussi est blessé sur toute la longueur de ses bras.

Je suppose qu'ils se sont.. Battus..?

Mais quel en est la raison ?

Est-ce Xiao qui s'est, sous le feu de l'action, levé, dans l'unique but de le tuer ?

Ou bien est-ce Tartaglia qui souhaite une confrontation et donc l'assassiner ?

Je ne peux pas les soigner en même temps..

Comment puis-je faire ?

Et je ne sais même pas où se trouve les pansements..

—  « Je vais me soigner. Merci Venti. »

Tartaglia me salue, en souriant, visiblement en souffrance puisque je le vois tenir son bras de manière à stopper le sang.

—  « Attends Tartaglia, je devrais te soigner tu ne peux pas par- »

Et il part.

Il s'est presque volatilisé, alors que j'observais Xiao du coin de l'oeil toujours aussi blessé.

Je devrais le voir..

Je m'approche et m'agenouille.

—  « Xiao, attends je vais te soigner. »

Il secoue la tête fréquemment, avant de répliquer.

—  « V-Venti c'est rien. Ne laisse pas cet homme t'approcher. »

Pourquoi ?

Il n'a pas l'air méchant.

De plus, il m'a sourit comme un jeune enfant.

Est-ce-que la probabilité qu'il se connaissent est possible ?

Et Xiao semble lui en vouloir, comme-ci.. Tartaglia avait commis une erreur indélébile.

—  « Je vais te soigner, et tu vas m'expliquer. »

Le connaissant, il me dira que tout vas bien et qu'il n'as pas mal.

Seulement, je sais très bien que c'est vraiment une tête de mule..

Et le connaissant, il n'en fait qu'à sa tête jusqu'à que le tout s'accumule.

—  « Xiao, s'il te plaît. »

Je le sens soupirer, près de moi, avant de le voir se lever et rentrer vers la porte arrière de l'auberge.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant