XXVIII ) 𝙢𝙤𝙧𝙩𝙪𝙪𝙨

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. 🔺 TW : mort, violence.
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[ La Signora, lettre. ]

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Mon amour,

Aujourd'hui je vais te venger.

Je vais tuer celle sur mon chemin, pour qu'elle comprenne que tu es mien.

Le manque de ta personne est insupportable, je ne sais pas si je vais tenir.

Ne pas t'avoir près de moi me fait souffrir.

Tu ne méritais pas de mourir, je ferais périr ceux qui ont gâché notre avenir.

Aujourd'hui, je me rends à Inazuma.

S'il te plaît, protège-moi.

Je ne sais si je resterai en vie,

Mom amour, je te promets de me sacrifier pour t'avoir à mes côtés.

Mais d'abord, laisse-moi te venger.
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Rosalyn, alias La Signora.

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PDV extérieur.

Lundi.

8h.

Depuis la conversation avec le barde et l'archon hypnotisé par son désir d'éternité, ils avaient convenus de se retrouver à l'entrée du temple dans lequel ils avaient parlés.

Le but était de confronter celle qu'ils attendaient.

Seulement, aucun plan n'avait été mis en place, La Raiden Shogun, aux idées solitaires et à l'esprit de fer s'était jurée de s'en occuper seule.

Et Venti, redoutait, à chaque moment qui approchait.

Car il ne savait si cela était véritablement ce qu'elle méritait.

Après tout, savait-il les convictions de l'archon Cryo et de son envie de chaque gnosis ?

Savait-il que La Signora travaillait et s'acharnait nuit et jour pour convenir à ses principes et la satisfaire ?

C'est alors qu'ils rentrèrent dans le temple la boule au ventre, la Raiden les attendait, dans l'unique but de les défendre.
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PDV Xiao.

Je presse ma main dans la sienne, et le colle à moi.

Jamais..

Jamais elle ne te toucheras.

Je veux qu'elle meure, qu'elle subisse l'enfer sur Terre, qu'elle brûle et qu'elle remplisse de ces cendres les terres.

Je ne suis jamais allé dans ce temple étrange, et je dois l'avouer, qu'il ne me rassure pas.

Cette atmosphère pesante et ce cadre de lumière sombré ne peut me détendre, que je m'amuse à me mordre les lèvres pour déstresser.

À tout moment, elle surgit, et je ne veux pas que ce qu'il s'est passé se reproduit.

— « Mon coeur, ça va ? »

Je sens Venti me regarder, sa petite bouille qui ne peut que m'apaiser.

Il est..

Adorable.

— « Oui. Enfin..je crois. »

Il sourit, caressant mon dos, le voyant me détendre le mieux qu'il peut.

À vrai dire, je me sens stresser, pas que je suis apeuré, loin de là, seulement que je ne sais pas comment ce combat risque de se terminer.

Et puis.. Je ne veux pas reproduire les erreurs du passé.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant