XIX ) 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙞𝙡𝙞𝙪𝙢

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PDV Xiao.
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La brise du matin caresse mon visage, et j'ouvre les yeux, trouvant Venti à l'opposé de moi.

C'est comme-ci il avait dormi seul, ne voulant de moi contre lui.

Il semble.. Stressé.

Voir tracassé.

Est-ce quelque chose que je lui ai dis pour le rendre dans cet état ?

Malgré tout.. Je devrais le remercier de m'avoir soigné.

Il est si gentil, il a bon coeur et est plein de bonté.

Il mérite l'amour de tous et d'être respecté, tel qu'il est.

Seulement, je suis assez deçu d'hier.

Mes recherches, et nos temps passés ensemble n'ont permis à Venti de se rappeler exactement de ce qu'il s'est passé.

Il ne se rappelle pas du cataclysme d'il y a 500 ans, ni de la destruction de la cité de Khaenri'ah par les archons eux-même et de la mort des soldats de Mondstadt pendant le cataclysme de la cité.

Mais je l'aiderai jusqu'au bout, même si je dois me priver.

Je n'ai rien à faire, en plus.

J'ai Liyue à surveiller, bien sûr.

Mais Zhongli semble préoccuper ces derniers temps.

Par quelque chose, qu'il aurait peut-être planifié.

Et je devrais aller lui rendre visite, avec Venti à mes côtés.

Depuis la rencontre avec ce fatui, Venti ne restera pas seul, encore une fois.

Et puis je suppose qu'il sait, pour nous deux.

Venti bouge à côté, et c'est me collant à lui que je lui murmure de se réveiller.

Je le sens ouvrir les yeux, regarder autour pour concentrer son attention sur ma personne.

Il a l'air triste, peut-être pour hier, et attends que je lui pardonne.

Mais, je ne lui en veux pas.

Il n'y peut rien.

— « Bonjour, Venti. »

Il sourit, doucement, m'habituant à observer ses deux petites fossettes se courber pour former un sourire que je ne peux que apprécier.

— « Bonjour.. »

Il se relève, doucement, alors que je me lève pour me préparer.

J'ai juste à remettre mon débardeur, rien de très sorcier.

Et Venti, était déjà habillé, s'étant endormi maladroitement avec les vêtements de la veille.

Et puis je peux comprendre, il avait sommeil.

— « Je dois rendre visite à Zhongli. »

Venti pose son regard sur moi, interrogateur.

— « Ah oui ? Je vais faire un tour alo-

— « Non. Tu viens. »

Désolé Venti, tu n'as pas ton mot à dire.

Je ne veux juste pas le laisser seul, encore, par peur que.. Ce fumier recommence ce qu'il a fait.

Il s'en est déjà pris à moi, et c'est hors de question qu'il commence à le toucher.

Ni un cheveu.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant