XXVI ) 𝙥𝙧𝙖𝙚𝙩𝙚𝙧𝙞𝙩𝙪𝙢

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PDV extérieur.

Après plusieurs infernales heures à prendre le bateau pour se rendre à l'archipel d'Inazuma, Venti et Xiao s'y rendèrent pour trouver les réponses à leur questions.

La cité, aux allures et aux coutumes japonaises impressionnaient les yeux des deux convoités.

Bien évidemment, Venti l'avait déjà visité.

Si bien qu'il est et fut en contact avec l'archon aux décisions de fer et à la volonté de laisser la ville dans l'éternité, Xiao, l'adepte de Liyue, n'y avait jamais mit les pieds.

Il fut surprit par la diversité des plats et des saveurs japonaises, qu'il fut étonné d'aimer ce qu'on appelle, en japonais, les dangos.

Simples boulettes de riz colorées que Xiao ne pouvait qu'apprécié.

Venti, quand à lui, restait fidèle à ses principes et optait pour du bon vin frais.

Bien sûr, il optait aussi pour les spécialités de la cité.

Mais il n'était vraiment fan des spécialités.

Bien que l'alcool semblait le seul remède pour ses papilles et la seule saveur qu'il peut digérer..

Par la suite, après avoir visités et goûter aux spécialités qui leur étaient offertes, nos deux acolytes se dirigeaient à l'endroit qu'ils redoutaient.

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PDV Venti.

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L'atmosphère est pesante.

Le temple de Tenshukaku est si imposant qu'il me donne des sueurs froides, ce silence plombant, m'effrayant rien qu'à sa façade.

Je n'ai jamais compris comment pouvait-elle vivre dans un endroit aussi enfermé, elle-même avec un lourd passé, rien ne l'empêche de sortir et de profiter.

Pourtant, il m'arrive de me souvenir de quelques traces de ce qu'il est arrivé.

Mais mes souvenirs sont encore troubles, comme-ci ils attendaient d'être révélés.

Je sens Xiao presser sa main dans la mienne, ses doigts entrelaçant les miens, voyant qu'il n'est pas rassuré.

Je peux le comprendre, la Raiden est imposante, mais est plus sympathique qu'elle ne paraît.

Elle reste tout de même proche de ses principes, et n'hésitera pas à nous jarter si nous sommes contre ses idées.

Quelque chose que je n'ai jamais compris chez elle, ce qui fait que je n'ai jamais eu d'occasion de discuter.

— « Je te laisse seul. N'oublie pas tu-

— Oui oui.. Je t'appelle si ça va pas. »

Il hoche la tête, posant un baiser sur mes lèvres, puis disparaît dans la seconde d'après.

Il doit probablement rester devant ce temple, en priant que je finisse vite.

Je m'avance vers la salle, plutôt vide, le sol en bois clair aux tapis de couleur chair.

J'aperçois aussi des écritures japonaises sur les côtés, mais je n'arrive malheureusement pas à les déchiffrer.

— « Te revoilà.. »

Je tourne la tête et aperçoit celle que j'attendais.

Elle n'a absolument pas changé.

Elle semble toujours aussi froide, la connaissant, elle ne me laissera pas parler.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant