XXIII ) 𝙖𝙛𝙛𝙚𝙘𝙩𝙞𝙤

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PDV Xiao.
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Je me sens..

Seul.

Et sans prévenir, je suis seul, ça arrive.

Je me promène de rive en rive.

Cherchant le destin, malgré que je ne suis rien.

Venti, tu les traites comme s'ils avaient un coeur aussi bon que le tien.

Mais tout le monde ne peut pas avoir ta douceur et ta tendresse.

Tu ne vois pas qui ils sont.

Mais tu persistes à voir la personne qu'ils peuvent être.

Tu donnes, donnes, sans rien vouloir en retour.

Seulement une partielle partie de ce qu'appellent les hommes, l'amour.

Je sais.

Je ne peux pas partir.

Et t'avoir, aussi.

Quelle décision dois-je prendre..?

Je ne peux pas exister, pour l'éternité.

Alors dois-je résister, pleurer et restons ensemble ou bien restons enfermer dans le noir sans échappatoire comme une prison ?

Car aux lendemains qui chanteront, aux espoirs que nous vivrons, aux tristesses qui s'envoleront, nos souvenirs, à nous, se construirons.

Parce que je ne peux vivre sans toi, tu me calmes quand je dérive.

Ton sourire est comme douceur et semblable à la brise.

Tu existes trop dans mon coeur que tu ne m'apportes que bonheur.

Mais comprends.

Je dois réfléchir, et par la suite revenir.

— « Attends..Tu veux qu'on se sépare ? »

J'acquiesce, un point sur le coeur.

Sa me démange, me picote, mais je pense que je dois simplement accepter.

Car c'est notre seule solution, si nous souhaitons avancer.

— « M-Mais qu'ai-je donc fait..? Tu m'en veux pour ça.. »

Je ne peux qu'hocher la tête, prenant sa main du bout des doigts.

Comprends-moi, Venti.

Je t'en supplie.

— « Mais.. Je.. J-Je t'aime..

— Moi aussi, je t'aime. »

Je le vois me regarder, sans comprendre ma décision.

J'ai besoin de temps.. Simplement..

— « J'ai..besoin.. De réfléchir.. Je ne veux pas qu'on se sépare, mais on devrait prendre une pause, nous deux. »

Je vois Venti s'affoler devant moi.

— « Xiao arrête j-je t'aime.. »

Je sais..

Je t'aime, aussi.

Plus que ma propre vie.

Toi aussi, tu me l'as prouvé.

Ce jour, où tu t'es sacrifié.

Pour un homme, impur, rempli de haine, de meurtres, qu'il a commit pour que la paix y règne.

Au-delà des collinesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant