Chapitre 4

20 4 0
                                    

  « Madame, votre petit déjeuner est servi » me dit Anne. « Bien, j'arrive de suite ». En vue de l'absence de monsieur, je n'avais pas besoins de me mettre sur mon 31 pour déjeuner, alors je déjeunai avec ma robe de chambre. Le petit déjeuner prit, j'allais mettre une jupe légère qui ne dessinait pas mon corps et qui dépassait mes genoux de beaucoup de centimètre, avec un haut fleuri. Je m'y sentis à l'aise. J'allais dans mon bureau pour travailler. A 14h, monsieur appela ma dame de chambre et lui ordonna de me préparer dès 18h30; car nous avions un dîner aux environs de 20h. Ma dame de chambre me fit part de ce qui aurait lieu dans quelques heures. Monsieur envoya par son homme Junior, une robe de la célèbre boutique Casanova, cousue par Franck Dozié. Eh oui ! Monsieur mon mari aime ce qui est à la mode et ne me fait porter que ce qui est cousu par de célèbres créateurs de mode. 18H30, mes dames de chambre me préparèrent comme monsieur le leur avait demandé. Nous quittâmes la maison après son arrivée.

     Il était déjà 20h50, lorsque nous somme arriver au lieu de la soirée, il y avait déjà du monde. A notre entrée, les gens nous regardaient vivement. Je sais que cela avait plu à monsieur ; cet homme aime être sous les feux des projecteurs ; raison pour laquelle il a voulu arriver en retard. Il a fière allure, mon cher monsieur, et ce n'était pas un compliment, loin de là. « Ma chérie, va faire un tour dans la salle et compte le nombre de vaisselle qu'il y a sur toutes les table ; n'en oublie surtout pas une seule » me dit Nabal en souriant. Il voulait tout juste dire par là que je devais le laisser seul et aller faire ce que je voulais ; bien évidemment, je devais faire attention à ce que je faisais et ne pas l'énerver. Je savais fort bien que monsieur avait des maitresses à Paris ; mais qu'il voulait les rencontrer sous mes yeux...cela me dépassait.
     « Mademoiselle ! » m'appela ainsi un inconnu. « Allez-vous-en s'il vous plait » dis-je. « Pour quelle raison ? ». « Allez-vous en » redis-je. Il ne voulut s'exécuter ; je pris peur et m'éloigna de lui en me dirigeant vers monsieur qui était en compagnie d'une autre femme, malgré sa prohibition. Dès qu'il me vit, il me lança un regard foudroyant ; j'eus la chair de poule sur le coup. Ça allait mal finir pour moi. Minuit 23, monsieur décida de s'en aller. Il n'y avait pas de bouchon en chemin, ce qui nous permis de ne pas nous attarder à arriver à la maison. « Va te repose dans ta chambre et veille à te lever à 5h du matin. Nous avons un vol à prendre demain » me dit monsieur en me donnant le dos. « Bien monsieur ».

De retour à la maison, toute fatigué à cause du vol ; je voulu monter dans ma chambre me reposer. « Monsieur, j'aimerai aller me reposer dans ma chambre si vous voulez bien ». « Attend ! » « Oui ! » lui répliquai-je en m'arrêtant devant la première marche des escaliers. « Junior ! Emmène madame recevoir sa punition ». « Monsieur ! S'il vous plait, pardonnez-moi je vous prie » « Ma dame, comment puis-je t'épargner avec ce que tu as fait ? » me demanda-t-il. « Dites-moi, quel était mon crime ? ». « Je te le dirai après avoir reçu ta punition. Emmène-la hors de ma vue Junior ».

     Je ne vous l'avais pas dit, mais mon mari est un homme rempli de méchanceté. Parfois, il jouet au gentil homme, tandis que de nature il est un homme effroyablement mauvais, avec un esprit irrité.
     J'aie passée trente minutes dans la chambre froide. C'est la punition qu'il me donne souvent ; car il sait que je suis allergique au froid, ce qui empire ma situation physique. Ma dame de chambre comme d'habitude, m'apporta une grande serviette et m'emmena prendre un bain chaud, puis me donna un café bien chaud pour me réchauffer les organes ; sans oublier, elle me mit mon produit Nasonex dans mes narines pour adoucir la douleur nasale que j'avais. Parfois, il m'arrive de saigner du nez. Depuis le jour où monsieur a connu cette faiblesse, c'est dans ce sens qu'il me puni ; c'est encore pire que quand il demande à son homme de me battre.

À suivre...

Vendu par mon pèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant