Juste...Qui Es-tu ?

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-hey San

- c'est une blague
- tu disparaît juste après mon opération et c'est la seule chose que ta trouvé a dire ?

- toutes conversation commencé par une salutation non?

- nope wooyoung
- pas quand tu ne donne pas de tes nouvelles, et qu'une personne que je ne connais pas me dis que tu m'attends chez toi.

- ça va
- c'est....|

- non ça va pas .
moi comment je suis sensé trouver ton adresse hein?-
bon je l'ai trouvé, mais c'est quand même pas juste-

-je t'ai beaucoup manqué dis donc

- mais bien sûr !
- tu étais sensé resté avec moi.
- tu as dit que tu n'allais pas m'abandonner, mais tu la fais des que je me suis rétabli.
- j'ai eu peur wooyoung, j'ai eu mal.

- je suis désolée.

- tu ne peux que l'être...

- San je le suis vraiment

- je dois y aller.

- juste une minute

- San?

-san!

- SAN!

Wooyoung ce mis a paniquer. San ne ferait jamais ça, ce n'était pas du tout dans ses habitudes, même si les  circonstances ne sont pas les mêmes, quand il était fâché contre lui, San n'hésitait jamais à le répondre et surtout, il ne lui mettrait jamais des vents. Il ne répondait même pas à c'est appels... Wooyoung bondit presque de son lit, son téléphone a la main, avant de se précipiter vers la sortie de sa chambre.
Après l'avoir passé, il courut longeant le petit couloir, avant de  s'empresser de rejoindre les escalier et de les descendre. Arriver au salon, il pris vite s'est clé posé sur une commode,  avant de se dirigé rapidement vers sa porte.

Si San sortait aujourd'hui de l'hôpital, il n'allait plus pouvoir le voir.  Il ne savait pas ou il habitait et la seule chose qui pouvait les faire ce contacté, le plus grands ne voulait plus ce rendre dessus.
C'est amis avaient raison, il avait agit de manière stupide. Il devait le rejoindre au plus vite, rejoindre rapidement celui que son cœur ne considérait plus comme ami.

"Maman je sort ! Avait t'il crié avant d'ouvrir là porte.

Oui, wooyoung l'aimait, c'était déjà connu de tous, même de San, mais il voulait l'officialiser. Il voulait le lui montré. Il avait déjà beaucoup attendu et là à cause d'une stupide surprise, il risquait de le perdre.
Il arriva enfin devant la porte et enfila c'est chaussures, de façon très rapide, avant venir l'ouvrir dans un élan qui lui fit perdre l'équilibre. Il ne pouvait pas le perdre maintenant, tous devait bien ce passer. Pourquoi avait t'il aussi peur.
Heureusement pour lui il fut rattraper par quelqu'un, qu'il remercia avant de se redressé et de s'en aller sans même lui porté un regard.

Il n'avait pas de temps a perdre, il devait le rejoindre. Il ne pouvait pas le perdre juste comme ça, il n'avait même pas eu le temps de profiter du monde ensemble.

"Wooyoung...

Cette vois le fit redescendre sur terre. Il la connaissait que trop bien, il pouvait même l'entendre quand il discutait ensemble par message. Il pouvait l'entendre dire chaque mots qu'il envoyait. Il pouvait l'entendre juste derrière lui appelant son nom.

Il se retournait donc pour faire face au garçon qui inondait s'est pensé, depuis c'est dernière minute. Il le regarda clignant plusieur fois des yeux, se demandant si c'était vraiment lui. Sans attendre,  il courut dans ses bras,  le serrant fortement.
Heureux de le voir, et content de ne pas l'avoir perdue, il le serais tellement fort que San commençait s'étouffer.
Il avait vraiment eu peur, tellement eu peur de le perdre.

"Je suis désolé San... chuchota t'il ne voulant plus le lâcher.

San répondit à son étreinte, profitant lui aussi de cette chaleur qu'il n'avait reçu que rarement. Mais il devait quand même respirer.

"Tu m'étouffe... Dit il en essayant de se détacher de lui, sans coupé l'étreinte.

"Désolée...

Wooyoung relâcha légèrement son étreinte sans le lâcher avant d'enfouir sa tête dans son épaule. Il voulait savoir qu'il était là, voulais savoir qu'il ne l'avait pas perdue.
Du côté de San, il sincèrement il ne voulait pas venir, il voulait le faire chercher encore une fois sa personne. Mais, lui même ne savait pas où aller, lui même ne voulais pas attendre encore une fois, de plus Wooyoung n'aurais eu aucune chance de le retrouver.  Il ne voulait pas ça, Il allait souffrir pour rien, ils allaient souffrir pour rien.  Il en avait marre que son cœur déclare même après son intervention médicale. Il voulait vivre profiter, il voulait l'ai, le connaître, le chérir.

" ce n'est pas grave... dit il réussissant à l'éloigner de lui. Je suis là.

Il voulait l'aimé sans souffrir. Wooyoung c'était éloigné sans lâché la main droite du garçon, ayant peur de le perdre. Il bessa la tête n'arrivant pas à le regarder, pourtant il on avait tellement envie. Mais il avait peur, peur de son regard, qu'il est changé.

" j'aurais dû rester à tes côtés, dit il tristement.  je te l'avais promis, son cœur battait tellement vite, il s'était inquiété. mais je voulais te faire une surprise,  je savais que tu allais te rétablir,  je v-

Il parlait sans même prendre le temps de respirer, San trouvais ça mignon. Il c'était vraiment inquiété pour lui. C'était comme s'il avait eu peur qu'il disparaisse pour toujours, ce qui était le cas.

- wooyoung ça vas, le rassura t'il souriant tendrement. respire je suis là

- tu m'en veux pas? Demanda le cadet

-non... Il vint posé ses deux mains des chaque côté du visage du plus jeune, avant de le lever la tête pour qu'il puisse enfin bien le voir. plus maintenant.

- pourquoi tu n'a pas répondu à mes messages, s'exclama t'il le Lâchant enfin  le bras du garçon. je me suis inquiéter. Finit il le regardant enfin.

- je cherchais l'étage. Dit il dans un rire moqueur.

- j'ai cru que je t'avais perdue. Il vint encore une fois le prendre dans c'est bras, un air triste sur le visage.

-je suis là... Le rassura t'il dans un ton calme.

Il ne s'attendait pas à ce que ça lui fasse autant d'effet, San ne pensait pas lui faire autant d'effet.  Mais wooyoung était comme ça, il n'aimait pas perdre une personne cher,  il n'aimait pas voir les gens souffrir, cela lui m'étais dans une panique totale. La vue d'une grande quantité de sang le faisait paniquer à ne plus en savoir respirer, et l'éloigner d'une personne chère avait presque le même effet.

" je serais toujours là.