Juste...Qui Es-tu ?

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Wooyoung: pourquoi tu est dans cet hôpital ?

San: pour toi.

Wooyoung: arrête de jouer,  je suis sérieux.

Sans fit un sourire en coin, avant de regarder l'horizon et de parler.

San: je suis malade, donc je me retrouve ici.

Cela faisait déjà une semaine qu'il venait voir le plus grand, bien évidemment, il commençait ça visite par Mingi, car il avait toujours beaucoup de chose à lui dire, puis des fois allait voir Jongho, mais c'était rare de pouvoir le rendre visite et enfin il terminait par San. Quand c'était possible, il les voyais en même temps, mais ce n'est arrivé qu'une fois.
Pendant toute ses visites, Wooyoung avait essayé de soutiré des informations à son aîné, mais celui-ci était bien décidé à ne pas lui en dire davantage sur lui. Leurs conversation ce résumait a une salutations, San Luis disant qu'il vas bien, et a lui racontant c'est journée "palpitant". Il en avait un peu marre que ça ce passe comme ça, deux "amis" sont sensés ce connaître non?
Ça ne marche pas comme ça ?
C'était t'il trompé de porte en entrant dans cette hôpital ?
Peut-être qu'il avait atterri dans un monde parallèle en franchissant c'est porte.

Wooyoung: soupire.

Son esprit commençait à un peut trop divaguer.

Ce soupire, intrigua son aîné qui le regarda avec attention, essayant de lire dans ses pensées.

San ne savais pas a qu'elles point, ça pouvait être perturbant d'avoir un amis malade mais ne pas savoir dans quel état il est.
Il ne pouvait pas savoir à quel point cela pouvait être préoccupant, et angoissant.
Wooyoung lui, aurait aimé ne pas savoir.

San: woo... S'exclama t'il.

Ce dernier tourna son regard vers lui, sortant de c'est pensé, un peu perturbé par son dialogue intérieur.

Wooyoung: hm?

San: ça va? Demanda-t-il un léger sourire rassurant prenant place sur ses lèvres. À quoi tu pensais, pour faire une mine pareille ?

À ces questions, Wooyoung y répondit juste un léger sourire, avant de ce lever du banc ou ils étaient assis, et de légèrement s'étirer avant de regarder le plus grand.

Wooyoung : rentrant, dit-il faussement enjoué, il commence à faire plus frais, ajouta-t-il, minant un frisant.

San le regardit d'un air neutre, avant de ce lever lui aussi, une de commencer la marche que le plus petit avait déjà entamé.