Us Against All Odds (Fr)

le souvenirs

'vos difficultés, le stress que vous subissez... C'est la vie. Et la vie à tendance a vous tendre des pièges quand on s'y attends le moins. Tous les couples ont des hauts et des bas, tous se querellent... Vous êtes un couple, donc vous ne pouvez pas fonctionné sans un minimum de confiance réciproque.'

Nicholas Sparks

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Les jeunes mariées ne s'étaient probablement pas aussi bien réveillée depuis au moins quinze jours.
Elle n'avaient d'ailleurs pas aussi bien dormi non plus depuis quinze jours.

C'était mercredi 13 avril et aujourd'hui aucune des deux ne travaillait. Il était dix heures quand Carina avait ouvert les yeux. Elle était nue, étendue sur sa femme, nue elle aussi.

Elle s'était relevée un peu plus pour admirer le corps de la blonde qui avait quelques suçons par ci par là entre le milieu de sa poitrine et son bas ventre.

-"tu admires ton œuvre?" Demanda Maya en souriant les yeux toujours fermés.

-"mon chef-d'œuvre tu veux probablement dire"

-"à ce point?! On pourrait afficher tes suçons au Louvre?"

-"non c'est une collection privée, il n'y a que moi qui puisse poser mes yeux sur toi, surtout sur toi nue"

-" j'aimerais bien que tu poses plus que tes yeux sur moi..."

-"ah oui?" Fit l'italienne en approchant sa bouche d'un de ses seins pour l'embrasser. "Comme ça?" Fit elle en déposant sa bouche au niveau de son estomac. "Comme ça?" Fit elle en embrassant un de ses abdominaux.

-"quelque chose comme ça oui ..."

-"ou comme ça?" fit elle en venant embrasser le tatouage pour elle. Elle avait alors senti la respiration de Maya devenir un peu plus lourde, elle avait baisser encore un peu son visage et avait remonté son regard pour croiser celui de sa femme, tout en refermant le gap entre sa bouche et son corps.

Elle avait embrasser son intimité comme si cela avait été les lèvres de sa bouche. Sensuellement, délicatement avant de finalement glisser sa langue, arrachant un soupire de plaisir à Maya.

Elle avait continué ainsi, la torturant jusqu'à ce que celle ci atteigne l'orgasme, un brin frusté par l'allure employée.

-"tu as fait exprès ?!" Avait demandé Maya une fois sa femme arrivée à son niveau

-"de?"

-"ça fait deux semaines que je rêves d'avoir ta bouche là, et tu as pris ton temps, c'était une vrai torture"

-"j'avais vraiment envie de savourer, de te sentir contre ma bouche, de t'entendre gémir lentement... C'est tellement exquis quand je te sens te retenir, quand je sens que tu as envie de plus"

-"j'ai jouis mais si tu savais comme j'ai encore envie de toi"

-"si tu savais comme j'ai envie toi sur mon visage, comme quand j'en ai eu envie la fois où tu as mis le porte jarretelles "

-"c'est vrai?"

-"oui je voulais juste... Nous ouvrir ...l'appétit"

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À onze heures trente elles étaient enfin sorties du lit. Elles avaient mis la musique pendant qu'elles petit déjeuner.

-"tu m'épates mon amour, tu n'as même pas crier famine"

-"ça faisait quinze jours qu'on avait pas fait l'amour et tu as pensée que la faim de nourriture me priverais de ce moment délicieux que je viens de vivre?"