LE MAFIEUX Tome 2

Concert de pleure

Chapitre 16

         **** ZÉNA CARTER SMOKE

Les paupières lourdes , j'ouvre difficilement les yeux , je les refermes aussitôt à cause des rayons brillant du soleil. Où peux être parce-que je n'ai pas envie de me rappeler des derniers événements , je laisse une larme m'échapper des yeux en repensant au révélations de cette femme que je croyais être ma mère. Toute ma vie j'ai vécue dans le mensonge , j'aurais préférée qu'elle ne réapparaisse plus jamais dans nos vies. Je ressens comme un nœud dans la poitrine qui m'empêche de respirer , je n'arrive même pas a expliquer ce que je ressens , ce qui est dans mon cœur est est mille fois plus fort que mes mots. Je ne me contrôle plus et fond en larme. J'ai toujours crue que j'étais le fruit d'un grand amour pourtant je ne suis qu'un enfant non désiré , cette femme a plusieurs fois tentée de me tuer et...

-MOI: aïe !

J'ai un mal de crâne atroce putain. Je tilt lorsque j'ouvre enfin bien les yeux et ne remarque pas l'endroit où je me trouve. Je me redresse et autour de moi , je suis dans une chambre , une magnifique et grande chambre. Mon cœur rate un battement lorsque je vois des photographies de moi accrochées sur les murs.

-MOI: où suis-je ?

Soufflais-je en essayant de me lever mais rien a faire, je suis comme vidé d'énergie et se mal de tête qui ne me lâche pas et... Oh mon Dieu ! Où est mon père ? Une larme pèle sur mon visage lorsque je repense à tous ce que cette femme nous a avoué.

<< je le répète encore Zena n'est pas ta fille mais celle de Christan. >>

Cette phrase reviens comme un écho dans ma tête , je me laisse tomber au sol et fond en larme , j'ai atrocement mal et..

<< BON SANG QU'EST-CE QUE TU FAIS ? >>

Cris-t-il en faisant éruption dans la chambre , il court et vient me soulever pour ensuite me déposer tendrement sur le lit. Je le regarde et ne m'y fais pas encore à l'idée que ce bel inconnu soit mon véritable père.

-MOI : NON , NON ET NON C'EST BLACK MON PÈRE ET PERSONNES D'AUTRES.

Hurlais je en pleure tellement j'ai mal , il essaye de me prendre dans ses bras mes je le pousse avec le peu de force qui me reste.

-MOI : NE ME TOUCHE PAS , ( pleure ) ÉLOIGNE TOI DE MOI JE..JE VEUX VOIR MON PÈRE.

Je veux juste mourir et tout oublier oublier.

-CHRISTAN : je comprends ce que tu dois être entrain de vivre mais s'il-te-plaît ne me repousse pas ( presqu'en larme ) j'ai passé dix huit longues années à te rechercher , tu n'as pas idée de tous ceux par quoi je suis passé et..

-MOI : JE M'EN FOU DE TOUS CE QUE TU PEUX ME DIRE TOUS CE QUE JE VEUX C'EST VOIR MON PÈRE ( en pleurant de plus belle )

-CHRISTAN : PUTAIN JE SUIS TON PÈRE ZENA , TU COMPREND ? TON PÈRE.

-MOI : NON ( pleurant ) tu...tu n'es qu'un inconnue pour moi j..je te connais pas. Toi et cette maudite femme êtes apparue dans nos vies pour nous détruire , j'aurais préférée ne jamais vous connaître.

Dis-je en pleurant de plus belle. J'ai envie d'évacuer toute cette rage que je ressens. Il prend un grand souffle en passant ses mains dans sa chevelure avant de se lever du lit. Il fouille le tiroir qui est à côté du lit et en sort des cachets qu'il me tend , je vois dans son regard qu'il souffre également mais moi je veux juste dégager d'ici.

-MOI : j'en veux pas !

Dis-je sèchement !

-CHRISTAN : Zena tu vas arrêter ces gamineries et m'avaler ces calmants tout de suite. Tu as idée de la frayeur que tu m'as fait ? Bon sang ça fait trois jours que tu dors et...