vingt-six

101 13 0
                                    

chapitre vingt-six

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

chapitre vingt-six

Août 2022, Paris.

10h56

   Aymen entra dans le restaurant et salua tous ses potes avant d'aller dans la réserve poser ses affaires avant de retourner dans la salle pour tout préparer avec ses amis.

— Comment ça va ? Demanda Jonas.

— Un truc simple, j'suis épuisé là. Répondit Aymen.

— Il s'passe quoi pour qu'tu sois crevé comme aç ? T'vas être daron ou quoi ? Se moqua Hugo.

   Bien qu'Imrân et Jonas n'avaient pas l'air de rire à cet élan d'humour et que Aymen commença à froncer les sourcils.

— Y'aura pas d'ça avec Bérénice. Répondit rapidement Aymen.

— Ay...

— On est d'accord sur ça. Aymen coupa son frère. Elle s'est faite cambrioler et son chat a été tué, donc c'est pas le top actuellement et j'essaie de l'aider comme j'peux.

— T'es en état de l'aider ? Demanda Jonas inquiet pour l'état, de son ami qu'il savait, pas au beau fixe.

— J'vais mieux, j'avance de ouf. En vrai je suis sur la bonne voie de fou, faut pas s'inquiéter pour moi.

— On s'inquiète parce qu'on t'a vu manquer de te foutre en l'air l'oublie pas. Lança Hugo.

   Jonas ramena une bouteille d'eau à son pote et Aymen en buvait rapidement avant de regarder ses amis d'enfance un à un.

— Franchement les gars, depuis que je suis avec Bérénice ça va beaucoup mieux. Je me relève de fou et je sais où est-ce que je vais.

— Tu l'aimes ? Demanda Imrân. Son frère hocha la tête. Putain j'y aurais pas cru.

— Elles ont rien à voir avec Meriem mais je pense pas que j'aurais pu aimer une autre femme comme elle.

— C'est une fois, pas deux. Fit Jonas.

— Oui.

17h45

   Aymen entra dans son appartement et retrouva Bérénice dans son canapé, sous un plaide à regarder l'écran de la télévision qui diffusa un film qu'elle n'avait même pas prit le temps de comprendre. Aymen s'approcha d'elle pour embrasser son front.

   Elle déprimait un peu depuis ce qu'il s'était passé, elle travaillait beaucoup moins, parce qu'elle n'arrivait pas réellement à passer une journée normale. Elle ne sombrait pas, mais elle peinait à admettre que sa vie avait pu autant dérailler.

— T'as passé une bonne journée ? Demanda Aymen.

   Sa copine se releva pour le laisser s'asseoir sur le canapé avant de se rallonger dans ses bras.

CELLE D'APRÈSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant