𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝒆 𝟗 : 𝓤𝓷 𝓼𝒆𝓬𝓻𝒆𝓽, 𝓾𝓷𝒆 𝓭𝒆́𝓬𝓸𝓾𝓿𝒆𝓻𝓽𝒆, 𝓾𝓷𝒆 𝓱𝓲𝓼𝓽𝓸𝓲𝓻𝒆

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*PDV T/p*

Ce que je découvris me laissa sans voix. Obanai. Sans ses bandages... Je resta là à le contempler (nda: oui, le contempler. Il va commencer à se passer des choses...) comme une idiote. Jusqu'à ce qu'il me remarque et là, je sentis que j'allais avoir de sérieux ennuis. Il resta quelques secondes surpris puis détourna vivement la tête, la paume de sa main collée au bas de son visage. Je rentra à pas de loup dans sa chambre, et me posa sur le bord de son lit à 30 centimètres de lui. Enfin de son dos plutôt.

-Qu'est ce que tu fais là ? me demanda Obanai, tendu.

-Je...voulais te voir pour m'excuser pour tout à l'heure...

-Et pour ?

-Pou te re-demander pourquoi tu es devenu un pourfendeur.

Il soupira, toujours de dos.

-Et pour te demander pourquoi tu cache tes cicatrices avec des bandages, avouais-je.

-Et pour te demander pourquoi tu cache tes cicatrices avec des bandages, avouais-je

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(nda: petit bonus de la maison pour les personnes ignorantes :3.)

-Tu n'étais pas censé les voir, soupira Obanai.

-Pourtant je les ai vu.

-Oui.

-Tu m'expliques ? demandais-je, trop curieuse.

-Attention, ça va être long et ennuyeux, me prévint-il.

-Ce qui vient de toi n'est jamais ennuyeux, lui répondis-je avait de me rattraper pour qu'il n'imagine rien. Parce que tu es mon maitre et que c'est intéressant de mieux te connaitre.

Douteux, il commença quand même son récit concernant son passé.

-Je viens d'une famille de voleurs. Composé de femmes, enfin quasiment que de femmes. Une famille de voleurs, dirigé par une femme mi démone, mi serpent.

 Une famille de voleurs, dirigé par une femme mi démone, mi serpent

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-...Les hommes étaient si rare que la démone souhaitaient les avoirs pour offrandes. Mais ça, je ne le savais pas. j'était le premier homme à naître dans cette famille depuis 370 ans. On m'a enfermer dans un cellule, toute mon enfance. On me donnait à manger, tout ce que je voulais. Mais j'en eu vite marre. Enfermé dans une cellule mal ventilée remplie de nourriture jour et nuit devenait insupportable. La démone serpent m'aimait beaucoup, mais les démons n'aime pas les humains pour rien. Je l'avais aperçus et quand je remarqua qu'elle venait chaque nuit, je ne pouvais plus dormir. D'ailleurs, Kocho pense que mes insomnies viennent de là. A mes 12 ans, je sortis enfin de ma chambre. On m'emmena dans une pièce richement décorée, et au centre, la démone serpent. Comme j'était trop jeune, elle ne voulait pas me dévorer de suite. Je croyais que c'était bon, qu'elles allaient me ramener dans ma cellule mais non. La démon serpent exigea qu'on me coupe les extrémités de la bouche pour que je lui ressemble et elle bu mon sang juste après. C'était écœurant en plus d'être douloureux. Quand on me ramena à ma cellule, je ne pensais plus qu'à m'enfuir. Avec une épingle à cheveux que j'avais voler à une de mes nombreuses sœurs, je gratta les murs chaque nuit. J'avais peur de ma sentence si on me découvrait mais je devais partir. Plus tard, je rencontra Kaburamaru et je m'enfuis 3 jours après. Quand je m'enfuis, la démone l'avait sentit et me poursuivit. Elle allait me tuer quand le pilier de le flamme arrivât et me sauva. C'est là que j'ai décider de devenir un pourfendeur et plus tard un pilier. Avant cette décision, je rencontra ma cousine par hasard dans les rue de Osaka, c'est à ce moment que j'appris que le démone était rentré furieuse et avait dévoré toute ma famille. Ma cousine était la seule survivante et à ce moment là, elle fut pris d'une fureur fulgurante et me sauta dessus. Elle me griffa et m'accusa de meurtrier. Elle m'a dit, mot pour mot : "Tu aurais du te faire dévorer à la place de toute la famille". Même si elles ne sont plus là, je sais qu'elles m'en veulent profondément et qu'elles me hanterons jusqu'à ma mort et peut-être au-delà.

Je suis née pour me venger 𝒪𝒷𝒶𝓃𝒶𝒾 𝓍 𝓇𝑒𝒶𝒹𝑒𝓇Où les histoires vivent. Découvrez maintenant