Les choses que je ne peux pas dire

2: Les vacances me manquent

Nous arrivons tard dans la soirée, nous sommes tous fatigués du vol, maman était si stressé, qu'elle à failli cassé l'accoudoir que nous partagions, après avoir bien utilisé son sac plastique elle s'est détendu, je frotte mon bras qui est quand même un peu douloureux, car elle ma broyer le bras gauche quand nous avons entamé la descende.

- Ton bras te fait toujours mal ?

Je regarde ma mère et acquiesce.

- Ouais, tu n'es pas y allez de main morte.

Elle est gênée.

- Désolé mon chéri.

- C'est rien, ça passera.

Nous entrons dans la maison et nous sommes pris d'une bouffée de chaleur, qui fait du bien quand même, nous avions le chauffage là-bas, mais l'avoir ici est bien meilleur, nous rentrons nos affaires dans la maison et montons dans nos chambres.

Je m'affale dans mon lit, le confort de mon deux place m'avait cruellement manqué, mais je ne disais rien, car la vue était à couper le souffle, je suis à la fois content d'être rentrée, mais pas content, parce que la vue était splendide, l'heure indique sur mon réveil qu'il est 22:10, je baille en posant mes affaires, je déballerai mes affaires demain dans la journée, je suis à une semaine de la rentrée dans j'ai le temps de le faire et je ne reprends pas mon service avant la rentrée aussi, tout tombe en même temps, il faudra que je calque mes horaires de boulot à mes horaires d'études.

Allonger dans mon lit, je contemple mon plafond et je n'ai même plus la force de me relever que j'enlève mes chaussures sans aucun effort, ainsi que mes vêtements, ce soir, je vais dormir en sous-vêtement, j'enlève mes vêtements toujours allonger dans le lit et je finis même par m'endormir.

Il est actuellement 7:35 et le réveil, vient de perturber le meilleur rêve que j'étais en train de faire, je me voyais déjà être promu responsable au café, bien que cela soit juste un job étudiant, je me demande si au final, je n'aspire pas à être responsable de quelque chose.

Je hausse les épaules et sors de mon lit, mes affaires éparpillées sur le sol, me rappelle qu'il faut que je range ma chambre, je ne suis pas du genre à être bordélique, mais là en voyant l'état de ma chambre, je ne peux pas me considérer comme maniaque.

Les branches d'arbres cogne sur ma vitre, je déduis qu'il doit y avoir de vent dehors, je râle, je me dirige vers mon placard et me sors une veste, après tout nous sommes encore en automne, bientôt la fête des friandises.

Je ferme les yeux et m'adosse à la porte de mon placard. J'espère ne pas travailler ce jour-là, je me rappelle encore l'Halloween de l'année dernière, des enfants avait jeté des œufs sur la devanture de la boutique, car nous n'avions plus eu de bonbon, le patron était fou de rage, nous n'avons pas pu mettre la main sur ces petits, bien que je pense qu'il s'agissait juste de jeune ado, cherchant un moyen de s'amuser.

Je décide finalement de me préparer si je ne veux pas être en retard pour ma rentrée au café, bien que nous sommes en vacance scolaire, je n'oublie pas le travail, le patron m'attend pour moins d'une heure.

Je sors de ma chambre habillée et prêt à partir, je descends dans la cuisine me prendre un petit truc à manger avant de partir travailler.

Dans le salon, se trouve ma mère et mon frère jouant à un jeu de carte.

- Bonjour, Greg. Dit ma mère souriante.

- Salut. Dis-je

Mon petit frère me regarder, il semble contrarié.

- C'est rien, Max perd alors il fait la tête.

Il s'offusque en levant les mains en l'air.

- Elle triche, cette tricheuse.