8: Mauvais en affaires, mais bon pour le cœur

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Je m'apprête à prendre mon service au café, quand Gary me demande de venir dans son bureau, je passe en mémoire l'historique des choses que j'ai faits, mais dans ma tête, je suis toujours resté dans les clous, du moins pas en ayant pour but d'aller chez le patron du café.

Je termine de lasser mes affaires et je vais dans le bureau du patron, je toque.

- Entre Greg.

J'ignore comment il sait que c'est moi, mais il a raison.

En rentrant dans son bureau, bien fleuri, Gary se lève de sa chaise en souriant.

- Le voilà, ma jeune recrue.

- Bonjour. Dis-je assez gêner.

Généralement, quand quelqu'un est convoqué dans le bureau de Gary, c'est généralement pas bon signe. Je déglutis et vient m'installer dans la chaise devant le bureau.

- T'en fais pas, ta rien fais de mal, ta l'air aussi tendu qu'un arc.

Je souris et acquiesce.

- J'ai juste un peu peur. Dis-je en baissant légèrement la tête.

Il acquiesce.

- Je vois, mais non, t'en fais pas, je t'ai demandé de venir, car je voudrais ton avis sur quelque chose.

Je plisse les yeux, je ne suis pas sûr d'avoir bien compris.

- Mon avis ?

Il acquiesce en souriant.

- J'ai reçu ce matin, quand tu étais en cours, un mot de client, satisfait de ton SpecialGreg et ces clients m'ont demandé si d'autre spécialité allait voir le jour ?

Je suis à la fois surpris et déconcerter , devant ma panique Gary reprends.

- Je leur ai dit, qu'au café Gary, on ne sert que nos spécialités pour le bien être de nos employées, donc n'ait pas peur, si tu n'as rien, le SpécialGreg est déjà énorme et je te remercie encore pour ça.

J'acquiesce.

- Je vous remercie, mais actuellement, je n'ai rien de nouveau, je ne cache pas, que j'ai en tête mes examens en tête.

Il sourit.

- C'est ça, que j'aime chez toi, tu es honnête et même si tu as peur de dire les choses, tu les dis. Dit-il avec un sourire réconfortant.

Il fini par me laisser allez prendre mon service, car Mathilda à bientôt fini son service, je prends le relai, jusqu'à la fermeture.

- Salut Mathilda. Dis-je en arrivant au comptoir.

- T'es pas viré ? S'étonne-t-elle

Je fronce les sourcils.

- Non, pourquoi ? Demandai-je curieux.

Elle hausse les épaules et fini de nettoyer la tasse qu'elle lave.

- Vu que tu allais dans le bureau du patron.

- Oui, mais c'était pas pour me faire virer.

Elle semble légèrement déçue.

Je fais comme-ci, je n'avais rien vu, de toutes façons, elle est aigrie tout le temps, donc je ne devrai pas être surpris de ça.

- Bon, c'est mon heure, au-revoir.

- Au revoir.

J'enfile mon tablier avec mon badge et je me dirige derrière la caisse, pour moment la salle n'est pas bondée, mais je constate qu'il y a beaucoup d'étudiant, seul deux hommes sont encore en costume et travaille sur leur ordinateur.

Les choses que je ne peux pas direOù les histoires vivent. Découvrez maintenant