11: Les cœurs solitaires de la St-Valentin

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J'entends un bruit qui n'est pas celui de mon réveil, j'ai la tête qui fais mal, je ne sais pas si c'est à cause de notre partie d'hier après-midi au bowling, mais ce que je sais, c'est que je souffre d'une migraine incroyable.

- Oh je t'aime ma chérie.

Je roule des yeux.

Je me demande pourquoi mon père se sent obliger de déclarer sa flamme à maman, à voix haute en plus, de beau matin.

Je saisis mon téléphone et je constate que nous sommes le 14 février, eh merde !

Je tourne la tête en direction de ma porte qui s'ouvre en grand. Ma mère apparaît souriante et radieuse.

- Regarde Greg. Dit-il en se retenant de crier.

Elle s'approche et me montre une bague à sa main, ce n'est pas celle de son mariage, car elle est sur l'autre main, la bague que je vois est assez joli quand même je dois bien l'avouer.

J'acquiesce en guise de réponse, n'oublions pas que je viens de me réveiller. Elle se redresse de mon lit et s'en va et une fois à la porte, elle me dit.

- Tu vas finir par être en retard, mon chéri.

Une fois qu'elle est sortie de ma chambre, je me redresse et tente de regarder par la fenêtre, il semble faire un peu froid dehors, je soupire et décide de sortir du lit, je prends mes affaires poser sur mon bureau et m'habille.

Je sors de ma chambre une dizaine minute plus tard en direction pour prendre mon petit déjeuner.

- T'as vu les parents ? Me demande mon frère Max.

J'acquiesce en m'asseyant près de lui et saisissant un fruit dans la panière à fruit poser au centre de la table.

On entend du bruit dans le couloir qui semble se rapprocher de nous.

- Oh non, ils arrivent ! Dit mon frère dépité.

Je rigole, il a beau être plus jeune que moi, voir nos parents aussi amoureux le dégoûte.

- Un jour, tu connaîtras ça aussi. Dis-je avec un clin d'œil.

Il frissonne.

- Pas comme eux.

Nos parents arrivent à l'encadrement de la porte en souriant, à se chuchoter des potentiels mots d'amours.

- Hum. Dis-je

Ils relèvent les yeux et nous regarde, Max écarquille un sourcil et moi je souris.

- Comment on a fait pour avoir deux enfants aussi différent ? Demande ma mère à mon père.

Ce dernier nous regarde et mon frère dit.

- Parce qu'avant d'avoir la perfection, il faut passer par le brouillon. Dit mon frère et me regarde, c'est pour ça que vous avez commencé par Greg. Dit-il en riant.

Je le bouscule et secoue la tête.

Je regarde l'heure au micro-onde, je monte dans ma chambre récupérer mes affaires pour les cours d'aujourd'hui, en repassant je tombe sur le mot de mon mystérieux inconnu que je dois aider, peut-être devrai-je acheter un petit cadeau pour cette personne.

Je regarde mon téléphone qui était resté jusqu'à présent toujours en charge.

J'ai reçu un message de Flynn, me disant que la prof à envoyer un mail, pour qu'on célèbre la St-Valentin de façon anonyme encore une fois et qu'il passe me chercher, car il n'a rien chez lui à se débarrasser.

Je rigole devant son message et je lui réponds, bien que le message date d'une trentaine de minute, par la fenêtre, je vois une voiture se garer devant chez nous, je reconnais de suite la voiture de Flynn, d'ici, je vois la légère, rayure de la première fois ou il s'est garé à côté d'une poubelle.

Les choses que je ne peux pas direOù les histoires vivent. Découvrez maintenant