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Un grand désolée pour les fautes dans ce chapitre, j'ai pas relu car j'ai pris max de retard sur les publi !!!!
Je vais reprendre un rythme normal quand j'aurais fini mes stages, c'est à dire dans deux semaines (j'en plus plus...) bref
Des bisous !🌞










































) bref Des bisous !🌞

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🌸

Lou-Ange

12 décembre 2020















J'étais assise sur mon canapé en train de regarder friends. C'est grave la série que tu regarde vingt fois mais jamais tu te lasse, c'est un cercle vicieux en faite...

Commencez jamais cette série, enfin si commencez là car sinon vous loupez carrément un truc dans votre vie.

Passons, je commence à somnoler quand j'entends quelqu'un toquer à la porte, choquée par l'heure de la matinée et surtout par le fait que j'attends absolument personne, je vais à la porte pas rassurée.

Mais quand j'ouvre celle-ci et qu'une masse me saute dessus je recule soudainement.

Un parfum masculin prend possession de mes narines. J'aime beaucoup ce parfum. Il ferme la porte et me plaque dessus. Ses iris dans les miennes je le fixe les yeux grand ouvert. Il a été d'une rapidité pour me poser sur la porte, mais alors qu'est ce qu'il fait ici ? Je ne l'attendais pas du tout.

- Mathieu ? Tu fais quoi ici ?

Il ne répond pas et pose son front contre le mien, prenant une grande inspiration et déplaçant sa tête dans le creux de mon cou.

- Eh math, ça va ?

Je pousse sa tête de mon cou, je perds toute mon assurance quand je vois des yeux devenir aussi noir, avec, au fond une lueur de désir ?

Il ne parle pas alors que c'est le genre de gars qui fait que de parler. Il me regarde et s'empare de mes lèvres. Ses lèvres bien que hydratées par sa salive peu avant ont un goût de vanille.

Je fus surprise, prise de court par cette action de sa part.

Il relève la tête pour voir mon état et quand il le vit il se mit à ricaner. Je devais être toute rouge.

Mes mains se posèrent sur ses joues rondes et toutes mimi et dépose mes lèvres sur les siennes, mes mains se placèrent dans son cou l'une exerçant des mouvement circulaire tandis que l'autre tirait ses cheveux qui avaient pousser.

Il lâcha un grognement rauque et mon estomac en fût tout retourné.
Sa langue pris possession de ma bouche et ses mains trouvèrent mes fesses pour que je puisse sauter sur lui.

𝐏𝐞𝐫𝐝𝐮Où les histoires vivent. Découvrez maintenant