Secret & Winter Cup (Tome 2)

17 quart-temps : Une journée ensoleillée

*PDV Kise*

Je sens quelque chose se mettre sur ma tête et vois Kasamatsu arrivé.

- Kasamatsu ? ; l'interrogeais-je surpris.

- Appuie toi sur moi, ça se voit comme le nez au milieu de la figure que tu as mal. T'as beau être mannequin, t'as aucun talent pour jouer la comédie ; répliqua-t-il.

Nous nous éloignons un peut sans qu'aucun de nous ne disent quoi que ce soit.

- Kasamatsu je- ; commençais-je

- C'est bon. Y'a plus personne, tu peux te lâcher ; me coupa Kasamatsu.

**Comment il a ...**

- Je... c'est pas ce que tu crois... ; commençais-je à pleurer.

- Arrête de faire la tête dur et lâche toi, c'est fini de toute façon ; Kasamatsu.

- Ça me fous la rage ! Je voulais tellement gagné ! ; pleurais-je.

- Moi aussi ; affirma-t-il.

**C'est horrible... mes larmes ne peuvent pas s'arrêter de couler... Si seulement j'avais été plus fort... !!! Qu'est-ce que ?**

Je sens une autre présence que Kasamatsu. J'ouvre les yeux et vois Aru.

- Mais qu'est-ce que- ; commençais-je.

- Arrête de parler et lâche toi, c'est fini Kise ; me coupa Aru.

Il prend mon autre bras et m'aide à marcher avec Kasamatsu, où je pleure jusqu'à ce que nous arrivions devant nos vestiaires. Kasamatsu nous laisse et Aru me promet qu'un jour tout rentrera dans l'ordre et qu'on pourra rejouer comme avant tous ensemble. Il est heureux et ça je le vois bien, car il pleure lui-aussi.

**Merci encore... Aru...**

*PDV Omniscient*

Après le match, Kagami retourne sur le terrain pour retrouver sa bague qu'il a perdue pendant le match. Il tombe sur Midorima qui la lui rend et lui confie une drôle d'indication pour son prochain match : "Il y a deux Akashi Seijūrō".

- T'as entendu ce que m'a dit Midorima ? Tu sais ce qu'il sous entendait ? ; demanda Kagami.

- On en parlera plus tard ; répondit Kuroko.

- T'es sérieux ?! Tu te moques de moi là ?! ; s'énerva le rouge.

- Pas du tout, j'attends juste qu'on soit avec les autres. Je n'ai pas l'intension de vous cachez des choses. Avant que nous affrontions Akashi, je dois vous expliquer ce dont parlait Midorima. Et vous raconter notre passé ; répliqua-t-il.

Tetsuya réunit toute l'équipe chez Kagami pour leur compter cette histoire à propos de Seijūrō. Il commence par leur parler d'un ami d'école primaire qu'il a rencontré en jouant au basket et qui lui a beaucoup appris. Cependant, il furent séparés au collège et Tetsuya dit être le responsable du fait que son ami ait arrêté le basket.

- Mouais, bas quoi ? C'est toi qui à tord dans cette histoire. J'ai été con de me faire du soucis. A part la double personnalité d'Akashi, il y a rien qui m'a étonné franchement. Et puis si tu pensais qu'il avait tord, il fallait pas se morfondre comme ça. Il fallait juste le cogner. Dans ce genre de situation, on agit d'abord et ensuite on essaie de comprendre. Mais non... Toi, tu ne fais que cogiter ; prononça Kagami.

- C'est vrai, tu as raison. J'ai été faible, je n'ai rien pu faire. Ogiwara était mon ami et pourtant, c'est de ma faute s'il a arrêté le basket ; approuva Kuroko.

- Qu'est-ce que je viens de dire ! T'as rien écouté ou quoi ?! Arrête de te faire des films ! Il lui frappa la tête, Il t'a comme même léguer son sert poigné avant de partir, nan ? Ce n'est pas rien ! ; répliqua l'As de Seirin.

- Il n'est pas mort non plus. Et même, s'il me la donné, je suis comme même fautif ; soupira le fantôme.

- C'est toi qui le dit. Mais perso, je pense pas que ton pote voit les choses de la même façon. C'est surtout qui t'entête à jouer les martyres dans cette histoire. Et puis quoi maintenant ?! Tu vas nous dire qu'enfaite t'es pas digne d'être avec nous. Tu vas te mettre à genoux, nous supplier de te comprendre et nous demander qu'on reste ami, hein ? Il se leva, J'espère pas pour toi, parce que sinon je t'en colle une directe ! Tu es l'un des notre, tocard. Si tu pensais le contraire, c'est que t'as rien dans le crane ; s'exclama le rouge.

- Je suis d'accord avec toi. T'as bien résumé la situation. Juste une chose part contre... Il y a que toi qui parles ! J'en ai mare, nous aussi on a plein de chose à dire à Kuroko ! Alors ferme là une seconde ! Et laisse nous discuter ! ; affirma Hyūga en frappant Kagami sur la tête.

Il frappe ensuite Kuroko, alors que les autres tentent de l'arrêter. Quand le calme est revenu, un des joueurs se souvient d'une chose.

- Mais si Aru est si fort, alors pourquoi ? ; s'interrogea Koganei.

Ils s'attendent à une réponse, mais le jeune homme part en courant pour s'isoler.

*PDV Aru*

J'essaye de retrouver une respiration normal avant de rejoindre mes coéquipiers qui sont tous assis dans le salon de Kagami. Tous me regardent, ils attendent que je leur explique. Ainsi que le problème avec Haizaki et ma disparition de Teikō. Je m'assoie à côté de Kuroko qui leur a déjà raconter tous ce qu'il savait. Mon cœur bat vite dans ma cage thoracique. Je prends alors une grand bouffer d'aire.

- Avant de me lancer... Kuroko, je vais vous raconter pourquoi j'étais aussi en colère contre Haizaki ; prononçais-je.

<<Flashback>>

*PDV Shiro*

Quand j'arrive devant le collège, je tombe nez à nez avec Haizaki, un frisson me parcours quand il se lèche la lèvres inférieur en me regardant. Mais je ne dis rien, et me contente de serrer les poings. J'accélère le pas vers ma salle de classe. Les cours du matin passe assez vite, je marche en direction du gymnase, mais sur le chemin, je tombe nez à nez avec des amis à Haizaki. Ils m'encerclent avant de m'attraper le bras et de me tirer vers un coin plutôt reculer. Un des garçons me plaque contre le mur et me maintient pendants que les autres me donner des coups dans le ventre. Je tombe à genoux, mais quelqu'un attrape le col de ma chemise et me plaque contre le mur. J'essaye de me débattre, mais je me prends un coup dans l'estomac ce qui me coupe le souffle. Je tombe violemment par terre, je me prends encore quelque coût avant qu'ils repartent. La sonnerie sonne quelques minutes après. J'essaye de me relever, mais ça me fais beaucoup trop mal. Mon souffle est court, mais je passe par-dessus et par en cours comme si de rien étais. L'après-midi se passe sens d'autre intervention des amis d'Haizaki.