Enfants de célébrités - Tome 2 (Mon brun à bouclettes)

Chapitre 15

𝓜𝓪𝓮̈ 𝓟𝓪𝓿𝓪𝓻𝓭

Thomas - Je... je voulais te présenter mes excuses pour la soirée, c'était pas très malin de t'avoir fait fumer.

- Tu sais qu'à cause de toi, j'ai fini à l'hosto.

Thomas - Je sais, je pourrai jamais effacer ce que j'ai fait et je voudrais savoir comment je peux me faire pardonner ?

- Si une personne de mon entourage proche sait que je te parle, tu vas finir six pieds sous terre et je les comprends très bien.

Thomas - Je comprend très bien que tu m'en veuilles, tout est de ma faute. Je cherche juste à me faire pardonner. 

- Pourquoi faire ? 

Thomas - Parce que depuis plusieurs semaines, je me suis rendue compte que tu me plais. 

- Par...Pardon ?! m'exclamais je en me levant du banc. Tu déconnes !? C'est quoi, un pari avec tes potes de merde ? 

Thomas - Non pas du tout. C'est la vérité. 

- Comment je peux savoir si tu te fous pas de ma gueule ? 

Thomas - Parce que sinon je ne ferai pas ça. 

Il se lève pour être à ma hauteur en suite il place ses deux mains sur mes joues pour poser ses lèvres sur les miennes. Lorsqu'il les retires, je reste là sans bouger, sans rien dire. Qu'est ce que je suis censée faire ? 

- Je...je vais rentrer, dis je complétement perdue. 

Thomas - Maë attend ! 

Malgré ses interpellations je continue mon chemin jusqu'à ma maison. En entrant, je me précipite dans ma chambre non sans faire du bruit. 

Je prends l'oreiller sur mon lit et hurle de rage dedans, jusqu'à ne plus en pouvoir et en avoir envie de pleurer. 

Gabriel - MAË OUVRE ! 

Il tambourine derrière la porte en espérant que je l'ouvre mais je ne suis pas décidé à bouger de mon lit. 

Gabriel - Maë s'il te plait ouvre !

Papa - Il se passe quoi ? entendais je la voix de mon père derrière la porte. 

Gabriel - Je sais pas, elle est rentrée et elle s'est mise à hurler et depuis plus rien. 

Papa - Maë, si tu n'ouvres pas cette putain de porte, je la défoncerai, affirme t-il. 

Je tiens à garder ma porte qui m'est très utile quand je veux échapper à mes frères. Je déverrouille la porte et la seconde d'après mon père et mon frère sont là devant moi. 

Papa - Ca va ? 

- Oui, rien de grave. Juste une mauvaise journée. 

Gabriel - Je vais faire des crêpes pour le gouter, tu veux m'aider ? 

- Si tu veux. 

(...)

𝓑𝓮𝓷𝓳𝓪𝓶𝓲𝓷 𝓟𝓪𝓿𝓪𝓻𝓭

- Elles sont délicieuses vos crêpes.

Maë - Merci.

Mes deux enfants remontent dans leur chambre, me laissant seul dans la cuisine. Annaëlle est en ce moment à Clairefontaine pour le travail et elle doit rentrer dans deux jours. Je décide de l'appeler, elle me manque.