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♡ ˚.*ೃ B. KATSUKI • ₊°✧
— OH, ET TU SAVAIS QUE QUAND KATSUKI ÉTAIT PETIT,il croyait que les cafards allaient dominer le monde ? lança Masaru en te parlant sans se retourner alors qu'il conduisait. Il voulait qu'on les laisse vivre dans la maison quand on a été infesté par ces petites bêtes. Il avait dit : « Comme ça, le jour où ils domineront le monde, ils seront gentils avec nous, puisqu'on les aura laissés vivre ici. »
— Et je me rappelle du jour où il est rentré de l'école et qu'on s'était débarrassé d'eux, ajouta Mitsuki en rigolant. Il avait pleuré, non pas parce qu'ils allaient lui manquer, mais parce qu'il était persuadé qu'on allait tous mourir un jour, lorsqu'ils prendraient le pouvoir, parce qu'on ne les avait pas aidés !
— MAIS VOUS POUVEZ LA FERMER ?! hurla Bakugo, visiblement agacé, dans l'habitacle de la voiture.
Tu éclatas de rire à l'arrière, Bakugo à côté de toi faisant la moue. Mitsuki, assise à l'avant côté passager, souriait en se remémorant ces souvenirs de son fils, qui grandissait trop vite à son goût. Tu jetas un coup d'œil au blond, qui semblait vraiment en colère.
Saisissant l'occasion de te venger pour toutes les fois où il avait été méchant avec toi, tu décidas d'en rajouter une couche.
— Alors comme ça, tu m'appelles "la Pouilleuse" alors que toi, tu es fan de cafards ? te moquas-tu en riant encore plus fort, vite rejointe par les parents de Bakugo.
Tu te penchas vers lui, le forçant à tourner la tête en attrapant doucement sa mâchoire pour qu'il te regarde.
— Peut-être que c'est moi qui devrais commencer à t'appeler "le Pouilleux" ~
En réponse, Bakugo t'attrapa l'arrière de la tête, te rapprochant de lui. Vous vous fixiez dans les yeux, et tu ne pus t'empêcher de remarquer à quel point ses yeux étaient captivants.
Sans vraiment y réfléchir, ton regard descendit vers ses lèvres pour la deuxième fois de la journée. Tu les fixais comme s'il s'agissait de nuggets de McDonald's, irrésistibles et prêts à être dévorés.
Bakugo exerça une légère pression sur l'arrière de ta tête, t'obligeant à le regarder dans les yeux, un rictus moqueur se dessinant sur son visage.
— Alors, tu as du mal à te concentrer, (t/p) ? lança-t-il, taquin.
Outrée par sa question vicieuse, tu ouvris la bouche, mais aucun son n'en sortit. Il rit légèrement avant de te relâcher.
