Amoureuse de l'araignée (Spiderman)

17 - Routine de Héro

PDV Peter

Je me penche au dessus de l'épaule d'Adèle alors qu'elle mélange minuscueusement la nouvelle formule que nous avons inventé ensemble pour mes toiles.

- Peter, tu me déconcentre avec ton souffle dans mon cou. - dit Adèle en frissonant.

- Ah oui pardon. - répondis-je en m'écartant rapidement et me plaçant à côté de la petite-amie.

- Humm, tu pense qu'il y en a assez comme ça ? - me demanda Adèle en arrêtant de verser le produit.

- Oui, c'est parfait ! - m'exclamais-je en posant un léger baiser sur son front avant d'aller chercher mes cartouches de toiles vides.

Je vis Adèle mélanger encore une dernière fois le liquide avant de se tourner vers moi en enlevant sa blouse blanche qui lui donne un air si sérieux.

- On va les essayer après ? - demanda Adèle en me souriant.

- Ouais, ça va être super ! - dis-je en posant les cartouches devant Adèle qui a le liquide en main.

Échangeant un sourire nous nous mettons à verser le liquide dans les cartouches en essayant de mettre le moins possible à côté.
Le travail finis, nous séparons pour mettres nos costumes avant de nous retrouver devant les cartouches que j'enfile rapidement.

J'attrape alors Adèle par la taille et nous sautons du toit alors que je tisse une toile.
La toile se tend rapidement, adhère parfaitement au mur et nous fais balancer a la perfection sans casser.

Je souris sous mon masque, je n'ai jamais eu d'aussi bonnes toiles, Adèle est vraiment douée en chimie.

Nous atterissons sur un toit, enlevant nos masques avant que je ne rattrape Adèle par la taille et plonge mon visage dans son cou.

- Merci, ses toiles sont parfaite. - remerciais-je Adèle, mon visage dans son cou.

- Je suis contente qu'elles te plaisent, j'adore quand on bosse ensemble ! - dit Adèle avec un léger rire, me faisant sourire a mon tour, la main de ma petite-amie caressant doucement mes cheveux.

Je ressera mes bras autour de sa taille et posa délicatement mes lèvres sur celles d'Adèle, malgré les mois passer à l'avoir pour petite-amie, j'aime toujours autant goûter à ses lèvres et l'embrasser a ne plus pouvoir respirer.

Adèle répondis directement à mon baiser en passant ses mains dans mes cheveux alors que mes bras la serre encore plus contre moi.

Soudain, un hélicoptère s'élève à côté de nous, nous coupant dans notre baiser.
Habitués à ça, nous nous tournons vers l'hélicoptère, toujours collés l'un a l'autre.

Je soupira lourdement, toujours agacé par tout ça, je replongea mon visage dans le cou d'Adèle, ne voulant pas voir ça.

Je sentis Adèle attraper ma main et me tirer le bras pour que nous partions de la.
Je la suivis sans réfléchir, triste a l'idée qu'on ne peux jamais rester seul sur un toit de New York sans qu'un hélicoptère ou des paparazzis arrive pour nous embêter.

Nous resautons et je nous dépose sur le pont de Brooklyn avant de recevoir un appel de Tony.
Je décroche en mettant le haut parleur..

- Allo le gamin ? - dit Tony dans le téléphone.

- Qu'est-ce qu'il y a Tony ? - demandais-je en croisant les bras.

- Cap ou pas cap ? - dis Tony comme un gamin.

- Cap. - répondis-je du tac au tac avec un air de défi.

- J'ai vu que t'es sûr le pont de Brooklyn, écris un truc dessus avec tes toiles. - dis Tony en riant.

- OK - répondis-je avant de raccrocher.

- Tu vas écrire quoi ? - me demanda Adèle.

Quand je plonge à nouveau f dans ses jolies yeux, un éclair de génie me vint et je me mit à sourire.

- Tu vas voir, reste ici, je te montrerai après. - répondis-je rapidement avant de sauter et de me mettre au travail.

Adèle étant sur un des grands poteaux du pont, elle ne peux pas voir se que j'écris.
Mon travail finis, je reviens à côté d'Adèle, le souffle court mais fier de moi.

- Je peux rien voir ! - rala Adèle en croisant ses bras.

Je souris doucement avant de la prendre par la taille et de nous déposer loin du pont, avec une vue imprenable sur lui.
Dès que nos pieds touchaient le sol, Adèle se tourna vers le pont et se figea alors que je déposais un léger baiser sur sa tempe, mes bras autour de sa taille.

Adèle se retourna vers moi avec un immense sourire, ses yeux brillants d'amour.

- Moi aussi je t'aime. - dis Adèle en passant délicatement sa main sur ma joue.

Je souris aussi et l'embrasse, ne pouvant pas m'empêcher de le faire devant son air si radieux et sentant sa main sur ma joue.
Adèle passe ses bras autour de mon cou et je la serre contre moi, en passant ma langue dans sa bouche.
Adèle tira légèrement sur mes mèches de cheveux, me faisant légèrement gémir,  inconsciemment mes bras se resserrent, la collant encore plus contre mon torse.

Et pour la deuxième fois de la journée, nous devons nous séparer, cette fois-ci à cause d'une sirène de voiture de police nous rappelant notre rôle de Super-héros.

Le lendemain matin, le jour de la fête des Avengers

Je me réveille en regardant Adèle endormie sur moi avant de commencer à doucement me lever sans la réveillée avant que comme d'habitude, elle se réveille quand j'ai presque finis.

- Bonjour Pete. - me dis doucement Adèle en me faisant un léger bisous sur la joue.

- Bonjour Adèle. - répondis-je en souriant et en la serrant dans mes bras.

- On va petit-déjeuner ? - me demanda ma petite-amie en se levant.

- Ouais. - répondis-je en me levant à mon tour et me dirigeant avec Adèle vers la salle à manger.

Nous arrivons dans la salle a manger ou tout les Avengers sont debout, dont Tony qui arbore un sourire fier presque sûr qu'il y aura plus de figurine Iron man que de figurine Captain America, sûrement parce qu'il a tout fais pour passer la commande lui même.

- Bonjour ! - fit  Adèle au groupe de Super-héros en s'asseyant à côté de Bruce.

- B'jour. - fis Tony dans sa tasse, suivis pas tous les Avengers.

- On va a quelle heure a la fête ? - demandais-je en m'asseyant à côté d'Adèle en m'emparant des céréales et du lait.

- Pile après le petit-déjeuner. - répondit Steve son café en main.

- OK. - répondis-je avant de commencer mon bol de céréales.

- Combien de figurines de vous il y aura vous pensez ? - demanda Tony avec un air rêveur, des chiffres sans doutes impossibles tournant dans sa tête pour les figurines Iron man.

- Tony, y' a que toi pour penser à ça alors que New York a fait une fête pour nous ! - s'inspirer de Natasha.

- Ben quoi ? - dit Tony devant les airs agacés de tout le monde.

Tous les autres héros présents soupirent avant de se séparer pour aller se mettre en costume, chacun ayant convenu que l'on arrive comme on veut à la fête.