20 - Une bonne ou mauvaise nouvelle ?

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PDV Adèle

Je me leva rapidement et courus aux toilettes pour vomir avant de m'assoir, la tête entre les genoux, cherchant la raison pour laquelle je vomis depuis un mois.

Soudain, une idée s'installa dans mon esprit et m'emplis de doute…

Et si ?....

Je me leva et me changa pour courir à la pharmacie la plus proche et revins rapidement dans ma chambre dans la tour Avengers et je me mis au travail.

Je regardai 15 minutes plus tard et tomba à genoux les larmes aux yeux.

Je suis enceinte.

Voilà 9 mois que Adèle à accoucher du petit Harry est qu'elle essaye de faire de son mieux pour le petit malgré le fait que Peter soit présumé mort depuis 15 mois.
Les Avengers tentent de l'aider du mieux qu'ils le peuvent mais ils voient qu'Adèle n'est pas heureuse. Tony et Pepper on d'ailleurs eu une petite fille qu'ils ont appelé Morgan, Steve et Elisa on eux un petit garçons qu'il on appeler James et Nat et Bruce ont adopté une petite fille blonde qu'ils ont appelés Yelena.
Hier, Tony a appris une nouvelle choquante qui lui a fait sauter de joie en secret.

Toujours PDV Adèle

Je suis dans la cuisine en train de cuisiner alors que mes pensées s'égare vers Peter, comme d'habitude, ses beaux cheveux bruns un peu bouclé que j'adorais caresser, ses yeux marrons dans lequel je me noyais, ses mains qui pressait mes hanches quand il m'embrassait, son odeur rassurante et envoûtante dont j'ai terriblement besoin, ses blagues pour me consoler, ses airs de bébé pour que je lui fasse un câlin, ses lèvres qui caressait les miennes. Je retrouve mon Peter en Harry, dans son rire, ses yeux, ses manies, ses bouilles. J'aime Harry de tout mon cœur et il illumine ma vie, mais j'ai du mal à sourire et a rire sans Peter à mes côtés, sans sa présence douce et rassurante.

Soudain, je sentis une personne derrière moi, un regard qui me fixe dans le dos.
Bizarrement, cette présence n'est pas dangereuse mais, au cas où, je m'empara d'un couteau avant de me retourner.

Je plongea alors dans un magnifique regard chocolat avec des paillettes d'or, je vis de la fatigue, de l'émotion et de la tristesse dans ses yeux que j'ai tant rêver et pleurer cette année.

Je clignas des yeux et fixa cet homme en tenue militaire avec des yeux fatigués et de beaux cheveux châtains coupés court.
Malgré toute la fatigue et la pression présente dans cet homme, je le reconnais. Je reconnais son visage d'ange, ses yeux marrons, ses cheveux soyeux, sa peau blanche et son sourire envoûtant. Mon couteau me tomba alors des mains.

-P…Peter ? - demandais-je en ne croyant pas à ce mirage qui, dès qu'il s'effacera, me brisera complètement.

-Salut Princesse. - dit-il d'une voix grave et émue.

J'ai tellement rêver de cette voix aussi, mais elle est plus grave, plus sérieuse, plus triste.

Alors toute la pression, la peur, le doute, l'espoir, la mélancolie, la tristesse, l'amour, tout se relâcha et je tombai à genoux devant lui, ce fantôme qui me hante. Je laisse les larmes couler abondamment sur mes joues me brouillant ma vision, j'éclate en sanglot, mon corps secouer sous le poids de la tristesse et du deuil que je ressens.
Jusqu'à ce que deux bras chaud et rassurant me colle contre un torse encore plus chaud et rassurant, portant l'odeur de Peter, celle dont j'ai tellement besoin.
J'entend le cœur de Peter battre contre ma joue, je me rendis peu à peu compte entourée de l'odeur de Peter, son cœur battant contre ma joue, son souffle caressant mon front, que je suis bien dans les bras d'un Peter en vie.

Doucement je me recula pour admirer son visage, et dès que mes prunelles plongèrent dans les yeux marrons de Peter empli de douceur, je sus qu'il est de retour et mon coeur commença doucement à se réparer.

Peter s'approcha alors de moi et posa ses lèvres sur les miennes. Et ce fut comme notre premier baiser. Nos cœur se mirent à battre à l'unisson et nos souffles se mélangent.

Les lèvres de Peter s'accrochaient au miennes et j'oublie tout, tout mes problèmes, toute ma douleur, l'absence de Peter, il n'y a plus que lui, moi et se baiser.

Peter agrippa ma taille en me collant encore plus contre lui alors que mes mains se placèrent naturellement dans ses doux cheveux châtains. Nos larmes se mélange alors que nous nous retrouvons dans un baiser.
La langue de Peter s'infiltre rapidement dans ma bouche en approfondissant le baiser.
Je tira un peu sur les boucles de Peter et celui-ci grogna avant de se lever en me tenant contre lui. Mon seul réflexe fut de passer mes jambes autour de sa taille alors qu'il me pose sur l'îlot central de la cuisine, nos lèvres toujours collées et mouvantes l'unes contre l'autre.

Amoureuse de l'araignée (Spiderman)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant