Mon Badboy Et Moi [Terminé]

Chapitre 24

Kayden

J'étais trop heureux de voir ma petite sœur. Elle avait tellement grandi et si intelligent pour son jeune âge. Elle était mon tout, mon centre d'univers. Même si elle paraissait heureuse et ignorante, la séparation de nos parents l'affectait le plus. Mais je savais que d'ici quelques années elle oublia tout elle oublia les moments inoubliables qu'on avait passé ensemble. Il serait son seul figure paternelle. Si je dis tout ça c'est parce que mon père n'etait pas le sien. Longue histoire qui n'avait ni queue ni tête...
Je devisageais au loin le copain de ma mère, je n'étais pas prêt à accepter le mal qu'elle avait fait à mon père . Elle se pliait en deux pour que je l'accepte. Comment pourrais-je accepter l'homme qui avait détruit ma famille et faire ami-ami avec lui. Il avait suffit un simple désaccord pour foutre en l'air leur dix sept ans de mariage.

Je pensais accepter de passer la fête avec ma mère me fera voir les choses différemment par rapport leur divorce, mais je lui en voulais encore.

Je m'allongea sur mon lit mes pensées étaient projeté par cette jolie innocente. J'étais conscient lui avoir proposer des jours de congés avec sa famille. Je ne voulais pas gâché ses routine. Mais ça ne m'empêchait pas de la désiré.
Au fil des semaines depuis qu'elle avait signé le contrat notre relation avait évolué. Elle se livrait à moi et me parlait ouvertement.
Même si je lui avais pervertie avec toute sorte de chose obscène, mais ça ne lui avait pas empêché d'être si douce et innocente. C'est ce qui me plaisait le plus en elle.

Je l'envoyais un message , qu'elle ne prenait pas deux minutes pour me répondre.
On discuta durant des heures. Elle me présenta ses frères et me parla un peu plus de sa famille, ses origines. Je me rendais compte que ça me plaisait de l'écouter parler. On s'approchait à la fin de notre contrat. Une part de moi voulait mettre fin, l'autre voulait continuer même si je savais qu'au fond elle voulait encore plus.

La maison était vide et clean. Mon père était parti en voyage d'affaires pour deux semaines il ne voulait pas que je reste seul à la maison sauf que j'avais déjà l'habitude de rester seul.

Je montais mes bagages dans ma chambre refusant l'aide de Hugo notre chauffeur. Je détestais profiter de mon statut gosse de riche pour faire travailler les autres à ma place. C'est l'une des raisons que mon père était le plus respecté.
Au loin au fond du couloir, une lumière fine attirait mon attention. Je lachais mes valises.et d'un pas ferme je décidais d'aller voir. Personne à part moi avait accès à cette pièce. La porte entre ouverte laissait échapper une douce odeur de Jasmine mélangé avec de la vanille.

Je poussais la porte légèrement avec mon pied. Elle était là les jambes écartées nue, une masque au visage, un collier de soumis à son cou. Ses lèvres étaient peinturer d'une rouge vifs. Ses long cheveux qu'elle avait laissé pousser en queue de cheval.

      - Bonsoir maître.
Rien de la voir ainsi un énorme bosse formait dans mon pantalon. Elle avait fait beaucoup de sport ce qui faisait ressortir ses courbes et ses hanches.

Sa douceur me manquait, son innocence... J'oubliais vite ma colère. Je me concentrais sur ma belle brune.

    - Touche toi.
Je lui ordonnais. Chose qu'elle exécutait rapide. Je me déshabillais et la regarder faire. J'attendais au moment où allait avoir son orgasme pour me mettre devant elle, et la pénétrer tellement fort qu'elle criait puis jouir. 

        - Je ne t'avais donné l'ordre.

     - Pardon... Pardon maître.

     - Tu connais déjà la punition
Elle s'agenouilla. Je prenais une chaîne et attacha ses pieds

J'ouvrais une tiroir et sort un fouet. Et commençait à la caresser et la fouetter en même temps. À chaque gémissement j'augmentais le rythme. Plus je la frappais plus je ne pouvais m'arrêter. Je revoyais son visage dans le restaurant avec son mec , le ventre arrondi, certes elle était plus mature que moi mais je l'aimais. Alors je ne m'arretais pas.

     - Jaune .. jaune
J'entendais au loin. Ses fesses etaient rouges. J'avais cru entendre des sanglots.

    - Je suis désolée... Je suis désolée.

Je pressais de détacher ses liens. Avant que son corps ne s'écoula sur sol. Je l'attrapa, elle se blottissait dans mes bras. Ses chaudes larmes coulaient sur mon torse. Je lui murmurais un je suis désolé. Son corps tremblait. Sa respiration était saccadé. Je passais une main dans ses cheveux. Petit à petit il se calma puis s'endormir.

   - Merde qu'est ce que j'ai fait