Mon Badboy Et Moi [Terminé]

Chapitre 15

Tout mon être tremblait. Sa voix était ferme et dur.
Sans le faire prier je m'éxecutais. Il diminuait un peu la température de la chambre. Je ne peux pas le croire je vais perdre ma virginité.

J'ignorais l'heure comme il n'y avait pas encore de feu d'artifice dans le ciel je gardais en tête qu'on etait toujours encore le trente-et-un décembre. Il revenait deux minutes plus tard, il prena cinq secondes pour m'observer avant de se jetter sur mes lèvres. Une main agrippa mes cheveux puis l'autre s'empoigna mon sein gauche.

Mes lèvres étaient sèches au lieu de les prendre en possession il embrassa mon ventre avec une main il empoignait mes seins. Il tira légèrement sur mon téton avant de le libérer pour s'attaquer à l'autre.
Je poussais un gémissement incontrôlé. Il introduisa sa langue dans ma bouche que j'acceptais avec plaisir.
"Oh mon Dieu si ça c'est le paradis je ne veux plus jamais m'en aller"

Maintenant sa bouche s'attaqua mes seins,
ses doigts se faufileraient entre mes cuisses m'obligeant à les écarter, je sentais son énorme érection au bas de mon ventre.
Même si j'avais la chance de le voir à plusieurs reprise, et l'imaginant en moi, sauf que la on était dans la réalité, et c'était beaucoup mieux. Mon cœur voulait exploser dans ma poitrine.

Il s'arrêta pour se déshabiller là je pourrais voir ses tatouages en entier. Il avait un tribal sur son torse gauche jusqu'à son bras. Qui lui rendait gravement sexy. Son corps était bien bâtit, je pouvais même voir ses abdos de tablette de chocolat.
Aucun geste ne m'échappait.
Il tira un peu sur chacun de me téton, après il descendait à mon vagin. Est ce que mouillé était le bon terme? On dirait une terre inondé après une forte tempête.
La tempête c'était lui.
D'un coup de langue il me lécha. Mon corps réagissait aussitôt.
Il me lécha encore et encore avant de me bouffer la chatte complètement.
Je gemissais son nom m'avait-il entendu?
Je l'emprisonnais avec ma jambe et d'une libre je caressais je plongeais mes doigts dans ses cheveux.
Les muscles et les cellules de mon corps se contractaient. J'étais assez experte pour savoir que j'allais enfin avoir un orgasme au lieu de continuer il s'arrêta. Mes jambes tremblaient. Je le voulais en moi mais on dirait qu'il n'était pas prêt à me libéré de ce désire.
Il m'embrassa sur les lèvres tout en gardant le même position.
Dans les livres romantique c'était le moment où le protagoniste disait à sa bien-aimé à quel point elle était jolie et qu'il la voulait. Au lieu de ça il se contentait de me dire:

   - Regarde-nous!
Il y avait un miroir au plafond et quelqu'un dans chaque coin de la piece

    - Je veux quand tu fermes les yeux que tu aie toujours cette image de nous.
En guise de réponse je hochais la tête. Il plaça son penis dans l'entre de mon vagin. Je sentais comme une électricité me parcourait l'échine. Il ne me pénètra pas tout de suite il se contentait de le glisser sur ma vuvle avant de me pénétrer doucement.  Il attrapa ma main pour j'ecartais les lèvres. Il tenait sa verge dans une main tandis que l'autre serrait serrait mon cou.
Il continua ses fortement sans jamais s'arrêter.

    - Pitié laisse moi jouir... Haann..
Au lieu de ça il ne s'arrêta pas. Il me murmurait :
     - Ça te fera mal. Mais après ça passera.
Mon cerveau n'avait même pas compris son message qu'il me pénètra direct. Je lâchais un crie de surprise, puis un gémissement de douleur. Je sentais tout mon être se déchirer, une larme coulait sur ma joue.

Il attendait que mon corps s'habitue . Il retira ma main pour s'allonger sur moi.
Il attaqua encore mes lèvres. Tout en se dehanchant doucement, les frottements de mon clito causé par mouvements me faisait mouillé encore plus ce qui augmentait la sensation. Sa main était toujours sur ma gorge je mordais mes lèvres inférieur pour ne pas gémir plus fort.

Je passais mon pied autour de sa taille lorsque je ne sentais plus la douleur. Mon bas ventre se réchauffait. Je connaissais cette sensation. Impossible de fermé les yeux j'étais comme captivé par cette scène torride qui était le mien. Je n'avais plus mal.  Il augmenta la cadence et alla plus vite plus fort. Je croyais crier son nom dans ma tête mais non c'était réel, il l'entendait. Je rentrais mes ongles dans sa peau.
Je le desirais encore plus