Kam : Tu es folle? Non!
Nora : Essaye la au moins..
- On verra limite ma culotte. Dois-je te rappeler où on va?
- Pas la peine.
Kam : Bon, tiens, je t'ai trouvé une belle robe.
-Rouge?
Kam : Oui, va essayé!
Nora se retourne et regarde les tas de robes pendu à des ceintes.
Nora : KAM!
Kam : Cava pas de crier comme ça?
- Regard moi cette putain de robes, dit-elle complètement éblouie.
C'est vrai qu'elle est magnifique.
Kam : Va l'essayer!
Nora : Je me vois pas dedans par contre toi..
Kam : Moi?
Elle me prend le bras et m'en fourgue dans une cabine avec la robe.
Nora : Tu sortiras que quand cette robe sera sur ton corps.
J'avais la flemme de me changer, je vous le cache pas.
Elle était difficile à mettre, la fermeture était derrière mais par je ne sais qu'elle miracle, j'ai réussi.
Nora : Alors?
Kam : Cava, cava je sors.
J'étais mal alaise par les regards que les gens me lançait une fois que je sortais de la cabine. Des regards en tout genre mais celui de Nora me mettait encore plus mal alaise car on peut dire que je la connais..
Kam : J'ai compris, je la retire.
Nora : Hein? Quoi? T'es tombé sur la tête?
Je rigole et me laisse entrainée vers le miroir.
Nora place mes cheveux d'un côté et je me regardais vraiment. Ça fait longtemps que je ne mettais pas regardé comme aujourd'hui. J'avais grandi, aussi bien physiquement que mentalement. Mes cheveux n'étaient pas aussi blond qu'avant, mes lèvres était beaucoup plus rose et pulpeuse, mes yeux étaient plus sombre et j'avais au moins grandi de 2, 3 cm comme j'ai toujours voulu.
Nora : T'es sublime Kam n'en doute jamais.
Finalement j'ai pris la robe même si j'appréhende un peu ce que va me dire Hayden.. puisque lui qui voulait pas de décolté, il va être servi.
C'est la première fois depuis longtemps que j'aime faire les magasins. D'habitude, j'en faisais 3-4 puis j'en avais marre. Nora me rappel Malia, dynamique, et pétillante de vie.
Elle m'avait raconté qu'elle était parti en Tunisie pour quelque temps le temps de décompresser des tentions entre les gangs et sa famille.
Je lui avais expliqué que je vivais pas à la villa et que Marc était mon père.