Cet amour si unique, cet amour entre deux personnes. Il suffit simplement de le vivre pour le comprendre.
Tu le sens quand cette personne c'est la personne de ta vie.
La soirée bats son plein, il y a un monde de fou, des gens de l'école, d'autres écoles. Matt m'a dit qu'il y avait des personnes qui font partis d'un gang ; La galère. Enfin bref, aujourd'hui, c'est le début des vacances. 2 semaines sans se préoccuper des cours, 14 jours de grâce matinée. Espérons que je n'aurais pas de mission à faire. Hayden et moi, on se chamaille pour un rien. Il me fait la gueule car j'ai mis ça.
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J'avais envie de me reprendre en main et après avoir discuté des heures avec Hayden, j'ai fini par me dire que s'il m'a viole c'était pas de ma faute. Je sais qui je suis et ça grâce à lui.
MAIS
Je vais pas faire comme toutes ses filles qui sont en couple et qui leurs mecs les interdissent de vivre. Je suis peut-être en couple mais je garde mes principes. Je suis soumises à personne mais bon, quand il est descendu, j'avais mis un short noir en dessous et j'ai pris de la bombe lacrymogène.
J'étais assis sur un tabouret à observer les gens au alentour quand Hayden se dirige vers moi.
- Un jour tu m'écouteras?
- Ça dépend sur quoi?
- Pourquoi avec toi tout est différent, murmure t'il.
- Parce que je suis différente.
-Tais-toi, dit-il.
- Bon moi je vais danser, dis-je me levant mais il me rattrape par les hanches.
- C'était quoi encore ta phrase? Les rêves c'est...
- Tu es qu'un Idiot.
- Tu, dit-il mordant ma joue.
- Hayden !
Il m'embrasse le cou puis je sens ses dents me mordre le cou, je lâche un petit cri de douleur mais je me fais vite reprendre par tout ses électrochocs de plaisir qui m'envahissent le corps.
La douleur fait place au bonheur.
Réveille toi, c'est un suçon qu'il te fais, me souffle ma conscience.
Je pousse Hayden une fois les idées en place. J'ouvre grand mes yeux et passe ma main sur mon cou.
- Alors toi!
- Quoi moi?
- Tu vois mes lèvres? Bha dit leur adieux.
- Tu n'arriveras pas à me résister.
- Prend pas tes rêves pour une réalité. Je te rappel que c'est toi qui voulait m'embrasser. Et c'est toi qui m'a fait un suçon espèce d'idiot.
