Je sors de la voiture le plus rapidement possible. J'ai besoin de m'isoler, lorsque je trouve un endroit tranquille, mes larmes dévalent mes joues plus rapidement qu'une cascade. On me demande de faire des efforts, d'être comme-ci ou d'être comme ça. Mais pourquoi vous n'acceptez pas ce que je suis. Moi, Jude Carsley. La fille qui ne prend pas de risque, qui ne s'attache pas, enfin qui ne s'attache plus. Celle qui reste dans son coin, celle qui se fait bouffer par la timidité et qui faire croire qu'elle est une grande gueule. Je n'ai que ces mots pour déprimer, me lamenter de mon pathétique, de mon gnian-gnian totalement chiant et lamentable. Mais malheureusement pour vous, je suis comme je suis. Rien ne ma changera. On me demande de changer, sans me connaître. J'ai jamais changée, j'ai toujours été ainsi, sauf qu'avant je me cachais derrière des sourires aussi faux que l'intelligence de n'importe quel bimbo de téléréalité, j'essayais de paraître sociale mais elle est partit. Celle qui me disait que j'étais sa fierté, son bonheur, sa joie. Un ramassis de connerie, oui. Les belles paroles attirent mais les actes sont porteurs de sens. Elle était la joie incarnait puis elle a décidée de ce barrer. Je ne sais pas où, et en toute franchise j'aimerai savoir. J'ai aucune fierté et je m'en bats les reins. Si, elle me demandait de revenir vivre chez elle, je ne sais où sur cette fichue planète, j'accepterai sans réfléchir. J'aime mon père, sans aucun doute. Mais ma mère est celle qui serais capable de redonnais le sourire à n'importe quel cancéreux en dernière face. Elle était infirmière, et je sais qu'elle aidait certains patient gravement malade à passer de l'autre côté avec le sourire. Le sourire du soulagement, de la liberté. Vous vous imaginez que j'ai déjà tenté de passer dans le côté impardonnable ? Non, jamais. La seule raison était simple. Ici, il y a des millions de gens qui souffrent de choses horribles, de maladies incurables et trouver une solution irréparable à des problèmes passagers était totalement idiot. Idiot car croire que la mort est une solution a un problème passager est réellement stupide. C'est un choix irréversible et que personne ne devrais à y réfléchir. C'était elle qui me l'avait dit. Et ce ''elle'' c'est ma mère. Alors, je sais pas si tu as rejoint les étoiles, si tu as décidé que la meilleure solution était ailleurs que dans ton pays. Mais maman, j'espère ne pas te décevoir. Si les Magcon ont cru le moindre instant avoir une quelconque influence sur moi, ou être supérieur à moi. Désolé de vous décevoir Monsieur les Magcon mais je me bats jusqu'à tomber à terre, le sang déchirant le jean de mon pantalon, les genoux ensanglantés, les bras à terre et les armes qui se taisent. J'essuie mes larmes.
Je passais devant les garçons qui attendaient probablement une quelconque réaction de ma part. Je savais pertinemment que les garçons n'aimaient pas quand je donne de l'attention à d'autres gars qu'eux. Allez savoir pourquoi..
« - Maxou, dis-je avec une voix faussement enjouée.
Avouez je suis pas crédible..
Il se retourne et me fixe avec incompréhension et je vois des poings se serraient au loin. Bingo!
- Tout va bien Jude ?
- Oui, oui.. Dis-je en le prenant dans mes bras.»
Je me fais pitié sérieusement.
Il se crispe pendant quelque seconde avec de se décontracté et à son tour, il me prend par la taille et m'embrasse le front avant de me chuchoter doucement :
« - Je tiens encore légèrement à ma vie et j'crois que si tu restes là, ma vie court un grave danger, ricane-t-il.
- Pourquoi ?
- Retourne toi..»
Je fais comme il dit et je vois au loin et j'ai cru que j'allais exploser de rire.
VOUS LISEZ
Azertyuiop | T.1 [OldMagcon FanFiction]
FanfictionChère famille, Je m'appelle Jude et j'ai 17 ans. Enfant bordélique et très chiante, je vais à mon avis vous les casser pendant deux très longues semaines. Cordialement, Mademoiselle Jude Carsley. Nan j'déconne. En réalité, j'aurais jamais eu les co...