Chapitre 17

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«Oublier et passer, c'est suffisant pour d'autres. Pardonnez, c'est trop. Se venger, ce n'est pas assez.»

De jours en jours, je m'attachais de plus en plus à lui mais lui de jours en jours s'éloignait de moi.

Plus les jours passaient, plus je voyais pourquoi on le surnommait Diablo.

Lentement j'ai commencé à voir le reflet de ce vide dans mes yeux dans les tiens.

Lentement il a cessé de me parler, il m'évitai et cela me rendait folle petit à petit.

Lentement je l'ai regardé détruit chaque parcelle de mon amour propre.

Il parlait à d'autres filles, couchait avec et m'appelait que quand il en avait envie. Il me traitait comme ci j'étais sa pute personnelle.

 Il me traitait comme ci j'étais sa pute personnelle

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LUI: je te l'ai déjà dit, je ne t'aimerais jamais.

MOI: je sais

Plus il me traitait mal, plus j'avais le sentiment d'avoir mal et plus je prenais plaisir à faire souffrir toutes les filles qu'il touchait.

Lentement, j'ai commencé à ressentir pleins de choses, j'avais le besoin d'être avec lui.
Mais petit à petit, cet sentiment qui ne me quittait plus depuis que je l'ai connue c'est lentement transformé en haine.
J'avais l'impression d'avoir donné quelques choses de précieux qu'il prenait plaisir à détruire comme avec elle.

Et je détestais ça, qu'il lui ressemble, qu'il me fait penser à elle et qu'il m'inflige les mêmes douleurs.

J'ai commencé à faiblir, à faire plein d'erreurs, à devenir trop émotive, à être faible.

Grosse erreur!!

MON ONCLE : j'ai pris des années à te façonner Irina, c'est grâce à moi si ton cœur bat encore, tu vis que pour moi!

MOI: je le sais.

MON ONCLE: Tu seras puni comme le veut les règles.
Ti porterò via qualcuno a cui tieni.
(Je vais t'enlever une personne à qui tu tiens.)

En entendant les bruits de moto, je comprends vite ce qu'il veut dire. Je sors en furie de son bureau pour l'atteindre avant lui mais les gardes m'arrêtent rapidement.
Il me force à me mettre en genoux et je le regarde être immobilisé par les gardes sans rien pouvoir faire.

MOI: incazzare!
(fais chier!)

Je vois des chaussures devant moi et je vois mon oncle me pointe une arme sur la tête.

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