Chapitre 42

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« Le monde est un enfer pour les bons et un paradis pour les méchants. »

On court rapidement entre les débris pour essayer de rejoindre au plus vite la sortie.

On continue à accélérer en voyant la lumière plus proche mais un coup de feu nous arrête dans notre course

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On continue à accélérer en voyant la lumière plus proche mais un coup de feu nous arrête dans notre course. Dani tombe à terre en se tenant la jambe en sang et en gémissant de douleur.

LUCIO : Vous partez sans dire au revoir?

Ayant la main droite blessé même si j'avais une arme je ne pourrais pas tirer à cette distance. Dani essaye difficilement de se remettre debout et sort son arme. Lucio se rapproche de nous avec son sourire diabolique toujours aux lèvres.
Sans crainte je prends l'arme de Dani et tire sur sa main droite ce qu'il le fait lâcher son arme. Avant qu'il cherche à reprendre son arme, je le dissuade en tirant dans son autre main. Il tombe à terre en gigotant dans tout les sens pendant que son sang commence lentement à s'échapper de son corps. Ces hurlements sont comme une douce musique à mes oreilles.

J'aide Dani à marcher jusqu'à lui, je rends son arme à Dani et je prends celle de Lucio pour la braquer sur lui.

MOI: À genoux!

LUCIO: Je préfère encore mourir en te suppliant que de te donner le plaisir de me voir à genoux.

DANI: J'en ai rêvé de ce jour, enfin le grand Lucio di salvo est sur l'hôtel de la mort.

LUCIO: Si je t'ai éloigné de moi, c'est parce que je ne voulais pas que tu devienne monstrueuse. Daniella, ma fille je t'ai toujours regardé de loin, assister à tes anniversaires et même à ta remise de diplômes.

Je regarde Dani qui à l'air déboussolé en entendant ses mots, ses larmes se mettent à remplir ses yeux sans qu'elle ne puisse se retenir. Je sais ce que ça fait d'attendre l'amour de son parent et j'ai peur qu'elle se laisse anbobiner par cette langue de vipère. Avant même que je puisse lui dire de ne pas le croire, elle lève son bras et tire sur sa jambe.

DANI : Je n'ai jamais été diplômé, riprova. (ressayes encore)

Il cris plus de douleur en recevant la balle mais lentement ces hurlements se changent en rires.

LUCIO : J'aurais dû bien vérifier si elle t'avais avorté, c'est ma faute je le reconnais. Que vous le vouliez ou pas, je ferais toujours partie de vous. Je serais toujours votre père.

MOI: Tu ne l'as jamais été, morire all'inferno. (crève en enfer)

DANI : Rendez à Dieu ce qui est à Dieu.

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