Chapitre 11

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« Le péché n'est pas ce que font les moralistes mais c'est dire être paroles de Dieu »


Je glisse ma main lentement sur sa cuisse et je lève un peu sa robe, son regard reste branché à mes actions et sa respiration devient rapide, j'entends son cœur battre.

Dommage pour elle, mais je ne suis pas attiré par les femmes.

Je fais plus pression sur sa bouche avant de lui implanter une seringue à la cuisse.

Je me relève et je la regarde entrain de paniquer

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Je me relève et je la regarde entrain de paniquer. Elle met la main sur sa poitrine en fermant les yeux de douleur.

ELISABETH : qu'est-ce que tu m'as fait ?!

MOI: si tu ne veux pas mourir, tu devrais faire moins de bruit.

ELISABETH : qui est tu?

MOI: moi? Irina

ELISABETH : réponds moi!

MOI: je l'ai fais.

Ses mains tremblent et elle se met à pleurer en essayant de me prendre par les sentiments.

ELISABETH : je ne t'ai rien fait.

MOI: pas à moi mais à mon client.

ELISABETH : qui t'envoies et pourquoi ?

MOI: disons que je suis venu mettre cette église sur le bon chemin, malheureusement ce n'est ni l'évêque ni la puissance divine qui m'envoie mais le diable.

Elle se met plus à couler ses larmes de crocodiles en me suppliant.

ELISABETH : je suis prête à tout pour t'être utile mais ne me tues pas! Je t'en supplies!

MOI : alors réponds à mes questions.

Il gagne une once d'espoir de pouvoir s'en sortir même si tout au fond elle comme moi savons qu'une seule pourra sortir de la chambre vivante.








Je me réveille en entendant des cris de détresse. J'ouvre les yeux et je me lève vite pour ouvrir la porte. Je vois les nones courir de partout dans le caoh. Je ferme lentement la porte en essayant de m'intéresser à leurs chuchotements.
J'avance lentement d'où vient les cris et sans m'étonner ça vient de la chambre d'Elisabeth.
Je vois Maria, arrête entrain de parler avec une autre nonne.

MARIA: qu'est-c'est ?

NONNE : une overdose.

MARIA : débarra...

Avant qu'elle ne puisse finir sa phrase, je l'interromps en la saluant et les visages se déforment lentement.

MARIA : tu es là depuis longtemps ?

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