Le Royaume de Drazar

Chapitre 12

En la regardant, je me rends compte que je suis marié, depuis le temps ou ma mère me rabâche ça dans les oreilles que j'ai fini par le garder dans ma tête malgré moi « - il faut que tu te marie car je veux voir mes petits enfants avant que la mort ne m'emporte dans la tombe. » ; elle avait failli me rendre fou à force de répéter la même phrase encore et encore et encore. Au finale je comprends la fuite de mon père pour aller je ne sais ou. Il a disparu un beau matin en laissant sa femme ici, en me léguant le trône la veille et toute les responsabilités qui vont avec et ceux depuis plusieurs mois.

Je pris mon téléphone pour appeler mon père, qui se trouvait je ne sais où. Il répondit à la troisième sonnerie.

- Regarder qui pense appeler son père après des mois sans prendre de ses nouvelles.

- Bonsoir père

- Bonsoir fils

- Comment vas-tu ?

- Aussi bien que celui qui vient d'apprendre le mariage de son fils il y'a deux jours.

- Père tu l'aurais su si tu avais décrochez mes appelles et si tu écoutais ton répondeur.

- Tu aurais pu insister au lieu de laisser tomber à la première occasion.

- Et si tu n'avais pas fui tu aurais même pu y participer aux préparatifs de mon mariage sans compter que tu allais connaitre la femme qui allait devenir ta belle-fille.

- Dit lui que j'aurai aimé la connaitre plutôt mais j'étais presser de fuir ta mère ainsi que le reste de la famille pour enfin me ressourcer et aussi parce que vous me les casser tous à venir vous plaindre auprès de moi.

- Tu es un mari, un père, un frère et en plus de sa tu étais le roi tu t'attendais à quoi !?

- Tu as raison mais ta mère et tes tantes sont trop capricieuses, c'est insupportable et de plus elles aiment se mêler de la vie d'autrui. Si j'étais resté j'allais les foutre dehors et je pense que tu devrais en faire pareille, car elles n'ont rien à faire dans le palais chacun a sa propre maison donc ils n'y ont cas le regagner et au plus vite si tu ne veux pas avoir des problèmes !

- On verra en temps voulu, mais tu penses les contacter et leur dire que tu vas bien ne ce-r 'es-que maman ?

- Fiston ta mère va bien, elle n'est pas sur son lit de mort alors pourquoi la dérange pour si peu !

- Si peu ! tu es sérieux !

- Un peu plus que sérieux et crois-moi si ça ne tenait qu'à moi elle ne saura rien du tout mais comme Dieu l'a voulu ainsi me voilà marie avec elle sans compter les enfants que nous avons ensemble.

- De quoi tu parles papa ?

- Tu comprendras le moment venu. Dit-il avant de me raccrocher au nez.

- ton père a toujours était comme ça ?

- oh mais ça ce n'est rien comparer a d'habitude.

- Il peut être pire que ça ?! Je ne répondis la laissant deviner elle-même la réponse.

Je a laissais dans notre chambre pour aller voir ma mère qui se trouvait dans sa chambre. En parcourant le couloir, tout ceux que je rencontrais dans le couloir que ça soit servantes ou gardes ils se prosternaient devant moi ce dont j'ai horreur, je leur ai pourtant dit de ne plus le faire mais je pense que c'est mission impossible. Arrivant devant la porte de la chambre de ma mère je soufflais un bon coup, sur le point de toquer à la porte ma main se suspendait en l'air en entendant ce qui se disait à l'intérieur.