Le Royaume de Drazar

Chapitre 10

 Rentrant dans la chambre, je me jetais sur le lit en pleure. Je ne sais pas pourquoi elle me déteste autant on s'est toujours entendu en étant enfant mais arriver à l'adolescence tout a changé et elle à commencer à me vouer une haine sans précèdent, surtout en apprenant ma relation avec Farouk. Il est un de nos voisins, un ami a Farid avant que tout ne change. En y repensent mes pleures redoubla et ce fut ainsi pendant encore plusieurs minutes avant de finalement m'endormir à force d'avoir trop pleuré.

Le lendemain, je me réveillais avec un mal de crane du à mes pleures de la veille, je me dirigeais vers la salle de bain faire ma petite routine avant de descendre pour le petit déjeuner. Arrivant dans la salle à manger qui la cuisine se trouvait ouvert vers celle-ci, je ne vis que maman et Farida, je pense que papa et Farid étaient déjà partis et ceux-là semblais m'attendre donc je fis comme si je les voyais pas et me préparais un petit déjeuner que je dévorais sous leur yeux sans rien dire. Lorsque j'eus fini je m'apprêtais à sortir leur laissés la pièce quand maman m'interpellais :

- Qu'est-ce que tu as décidé pour la proposition qui ta était faite ?

- Je n'ai pas encore décidé ce que j'allais faire. Dis-je en leur mentant ouvertement et Dieu seule sait que je suis une très mauvaise menteuse. Donc je peux affirmer avec certitude qu'elles savaient que j'ai pris ma décision mais elles savent aussi que je ne leur dirais rien.

- Je sais que tu ne diras rien tant que tu ne le voudras pas mais écoute moi bien tu as intérêts à ne pas accepter car il se trouve que j'ai finalement trouvé quelqu'un pour toi. Dit-elle avec un sourire en coin qui ne me dit rien qui vaille et qu'elles m'ont encore préparé un de leur habituelle sale coup.

- Pourquoi ferais-je une chose pareille ? demandais-je en devenant méfiante tout d'un coup

- Crois-moi mieux vaut pas le savoir car si tu oses me défier je ne t'épargnerais pas !

- M'avez-vous épargné ne ce-r 'es qu'un jour?

- Pas vraiment mais rien ne m'empêche de te pourrir la vie et la rendre encore plus misérable qu'elle ne l'es déjà.

- Comme si ça changeait de d'habitude, je vais vous dire une chose vous avez intérêt à me lâcher la grappe si vous ne voulez pas moi je fasse de votre vie un véritable enfer à partir du jour où j'aurai dit oui !

- Fille indigne ! je commence à comprendre le pourquoi de ton abandonnement ! ces paroles me touchai plus que de raison mais je ne fis aucun commentaire et affichais un visage neutre.

- Bonne journée mère. Dis-je pour couper court à la discussion.

Sortant de la maison je me rendis au restaurent pour la première fois depuis un certain temps, en rentrant je vis plusieurs connaissance qui me regardais surpris de me voir ici ce qui commença fortement à me taper sur les nerfs. Je dû faire fi pendant toute la journée de toute cette attention qui m'étais soudainement porter jusqu'au moment de quitter le restaurent a la fermeture ou sur le chemin du retour ou nous croisons une femme du quartier qui on pouvait la qualifier de la langue pendue car elle colportait a elle seule toute les ragots inimaginable.

- Bonsoir à vous !

- Bonsoir madame Samir.

- Comment ça va Yasmine ?

- Je vais bien et vous ?

- Ca va bien, au faite Yasmine j'ai entendu dire que tu allais te marier une nouvelle fois ?

- Une nouvelle fois ? je ne savais pas que j'étais marié ?

- J'ai entendu la rumeur selon laquelle que tu n'étais pas pure et que Farouk t'avais surpris avec un homme qu'il avait annulé vos fiançailles et aussi avec le faite que tu étais abandonnée par tes vrais parents et que tu ne connaissais même pas tes vrais parents !

- Et moi j'ai entendu dire que tu étais une vipère qui devrait se mêler de ses affaires !

- Quel mal élever !

- Ecouter moi bien moi j'ai bien éduqué mes enfants et je pense que vous devriez en faire autant avec les votre ! Lui-dit papa avant de nous faire signe de partir.

En rentrant à la maison on vit Farida et mère assises au salon avec un avec un air grave sur le visage.