Chapitre 25

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- Qu'a l'on nous faire avec elle ?!

- La faire disparaitre !

- Très bonne idée mais comment allons-nous nous y prendre !

- Il faudrait bien organiser ca de sorte à ce qu'on ne laisse aucune preuve pouvant nous relier à ce qu'on s'apprête à faire !

- En combien de temps allons-nous faire ça ?

- A peu près 9 mois.

- Une année entière pour seulement un enlèvement accompagner d'un assassinat, c'est exagéré !

- Tu as raison maman ça devrait prendre tout au plus 1 mois.

- Débarrassons-nous d'elle le plus vite possible !

- Comme vous voulez mais ne venez pas vous plaindre quand on aura des problèmes à l' avenir.

- Nous n'en aurons pas !

Nous débarrasser d'elle deviendrait presque comme un miracle car il faut se l'avouer elle est tenace la petite. Comment cette fille a pu mettre nos plans à l'eau aussi facilement que ça ? Même si maintenant ça n'a aucune importance l'essentielle est de la faire disparaitre le plus vite possible. Le palais n'étant pas un endroit sûr pour discuter de ces choses car nous risquons de nous nous faire démasquer en un temps records, de plus avec le retour de l'ancien roi au palais je sais d'avance que nous allons nous faire expulser du palais.

Ça fait trois semaines que nous préparons son assassinat et nous avons trouvé la personne idéale pour faire ce travail à notre place.

- Vous voulez vraiment la voir disparaitre ?

- Absolument. Disons-nous tous ensemble en même temps.

- Très bien dans ce cas nous pouvons commencer ; j'ai fait le tour du palais et selon moi, si je permettre a l'intérieur, je n'aurais aucun moyen de sortir sans me faire arrêter.

- Donc vous abandonner ?!

- J'ai jamais dit ça, j'ai juste dis que ce que vous me demandez ne peux se faire à l'intérieur du palais donc débrouillez-vous pour la faire sortir du palais et de préférence du pays si possible.

- La faire sortir du palais est possible mais impossible que nous réussissions à la faire quitter le pays.

- C'est à vous de trouver une solution à sa mon travail à moi est de la faire disparaitre.

- J'ai entendu mon oncle et Ahmed discuter et mon oncle parlait d'un gala de charité qui aura lieu en Irlande dans quelques jours !

- C'est maintenant que tu le dis !

- Je ne pensais pas que c'était important !

- Ce n'est pas important, l'essentiel est qu'ils sont encore dans le pays et vous monsieur vous allez les suivre jusqu'à leur hôtel. Je vous prierais de bien faire votre travail et correctement.

Cinq jours d'attentent ; cinq jours d'attentent qui me parure comme une éternité, j'étais tellement impatiente que j'ai failli faire la bêtise de leur demander le jour de le départ alors que je n'étais pas censée être au courant de leur voyage et d'ailleurs personne n'est censé l'être a part eux quatre. Vers la fin de la soirée, la sonnerie de mon téléphone me tira de mes penses, je fixai le nom afficher sur l'écran du téléphone et ne décrocha qu'à la troisième sonnerie de cet outil de communication infernale. A peine avoir porté l'appareil a l'oreille que j'entendis l'horrible voie de mon mari agresser mes tympans.

- Tu rentres quant au juste ?!

- Bientôt !

- Je croyais que vous avez été chassé du palais !

- Tu veux une confirmation de ma part !

- Pas besoin, j'ai l'information dont j'ai besoin.

- Ton frère ta donnée un délai de jours à ne pas passer dans le palais, sinon il vous mettra a la porte comme des mal propre !

- Il ne le fera point

- Ne le défis pas.

- Je ne le fais pas mais il n'osera pas humilier sa sœur en la jetant dehors !

- Reviens un peu sur terre la seule personne qu'il n'osera mettre dehors est Neyra et toi tu es le cadet de ces souci. Alors écoute moi bien, tu peux rester et aller ou tu veux mais ramène moi ma fille et tu as intérêt à ce que tu n'aies pas impliqué la petite dans vos histoires douteux sinon je ferais de ta vie un véritable enfer !

- Je suis ta femme !

- Comporte te toi comme telle, je eu la patience de te supporter pendant plus de vingt-cinq (25) année de ma vie alors n'essaye même pas de me pousser à bout. Dit-il avant de me raccrocher au nez. Sentant une montée de colère je balançais le téléphone droit sur le mur en criant. Au bout d'un moment, je me mis à regretter la manière dont je lui ai parlé car Hamed n'est pas réputer pour son calme légendaire.

Le Royaume de DrazarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant