Tâche 13 : Paralyser

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Juste une petite précision avant de commencer, je sais que je suis parfois putains de lente pour écrire mes histoires, mais est-ce que ce serait possible d'arrêter de croire que j'ai clamsé et de me déclarer comme étant décédée à la mairie dès que je ne poste pas un nouveau chapitre en moins d'un mois svp ? ^^"

J'ai aussi beaucoup de choses à côté dans ma vie, des problèmes avec ma recherche de job ou des personnes qui savent pas comment putains de faire pour communiquer bordel de merde, arrête de te plaindre de parler à une porte alors QUE TU N'ES QU'UN PUTAINS DE MUR DE BRIQUES QUE JE ME PRENDS EN PLEINE FACE DEPUIS DES ANNEES

*tousse * ah... pardonnez-moi... *tousse *

Mais bref ! Je sais que je suis lente ! Mais pour les derniers qui ne savent pas, je suis lente pour écrire et vérifier que mon chapitre est bien et me plaît, et donc vous plaira aussi ! Je ne pourrais jamais publier un écrit dont je ne suis pas fière moi-même, à moins que ce soit pour rigoler ou troller, et ce chapitre s'est avéré bcp plus long que prévu, à tel point que vous remarquerez peut-être des passages de flemme extrême écrits à la va-vite que j'ai rushé.

Donc voilà, vous êtes prévenus ! Et si vous avez peur que l'auteure ait fini sous une presse hydraulique à force de remater V3 via les rediffs de Farod, vous pouvez aller vérifier sur Twitter et Instagram que je suis bien vivante, je suis assez active et je poste parfois des petits teasers !

Après, si vous pouvez vraiment pas vous passer de moi en attendant le prochain chapitre, vous pouvez aussi passer le temps en lisant mes histoires exclusives sur ma boutique Etsy. C'est pas cher et la livraison se fait en 2 minutes, aucun frais ! ;-p

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*clac !*

Je ferme mon casier d'un coup sec, faisant naître un bruit que je connais bien maintenant.

« Hm... »

Ma main...

Je l'approche de mon visage...

*sniff sniff*

Elle... elle ne sent plus...

En tout cas, pas aussi fort que lorsque je suis parti du manoir...

Mais... j'ai tout de même l'impression... qu'il y a encore des restes de l'odeur désagréable... des restes qui... qui persistent...

« Tu stresses, Ouma-chan ? »

« Hein ? »

Je relève la tête et regarde à côté de moi. Dans les vestiaires des servantes, alors que je m'inquiétais de l'odeur de ma main, Kire me regarde l'air inquiète, en train de défaire la chemise de son uniforme.

« Tu commences ton créneau ? Tu stresses de te faire réprimander ? »

Ah... c'est vrai que Kire, Mirai et toutes les autres filles ici sont les victimes favorites de ces nobles... en temps normal, j'aurais certainement peur de me faire frapper dessus, moi aussi...

Mais non... la raison de mon anxiété est tout autre...

« Oh non, ce n'est rien... et puis, je sers le jeune maître aujourd'hui ! il est plus correct et patient que sa sœur ! »

Mais je ne peux pas dévoiler cette raison aux autres...

« Ah oui, c'est vrai que tu es à son service personnel ! T'en as de la chance... le jeune maître est de loin le plus calme ! Tu sais, j'ai entendu dire que Hebi avait fini à l'hôpital après s'être fait frapper par madame Kayda... »

Je suis à votre service, jeune maître...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant