chapitre 15

795 50 17
                                    

POV ALEXANDRE

Moi: aller je t'attends, aller  viens la chercher et surtout viens aussi avec ton serceuil baron de merde ahahaha.

Je raccroche, je prendre une pause pour calmer mon four rire. Ce type croyait qu'il allait m'impressionner où me faire peur avec ces menaces  à la con auquel lui même n'y crois pas. Il est toujours aussi pathétique. Et je me remets à rigoler à gorge déployée devant la stupidité de cet imbécile heureux.

Quelques secondes après, je calme mon four rire et je sens des regards interrogateur dans le dos.

Lorsque je me retourne tout les regards sont braqués sur moi.
Mais ce qui attire plus mon attention c'est la paire d'yeux de mon ange. Oui, j'ai bien dis mon "Ange" parce que c'est ce qu'elle est pour moi mais elle ne le saura jamais....Bon bref. Je lis dans ses yeux de la peur,de l'inquiétude et ils sont remplies de larmes, Ce qui me brisé automatiquement le cœur.

D'un geste incontrôlé, sans mon consentement mon corps  bouge tout seul pour aller vers elle. Ses yeux sont tellement beaux et triste à la fois. Sans prévenir je la prends dans mes bras et la serre très fort contre moi. Je m'étonne moi même mais ce qui me surprend plus c'est qu'elle a répondu à mon étreinte et s'est mise à pleurer.

Mariane: s'il te plaît ne le laisse pas m'emmener par pitié dit elle en pleur.

Moi : t'inquiète pas je ne laisserais ni lui ni personnes t'enlever à moi dis je en la serrant encore plus contre moi pour la rassurer au mieux

Elle se libérer de mon étreinte et me regarde dans les yeux avec ses yeux plain de triste qui me supplie de donner une réponse favorable à ses prières. Je pose mes mains sur chacune de ses joues.

Moi: je te le promets princesse et de toutes les façons si il vient sur mon territoire c'est la mort qu'il trouvera.

Puis une voix se fait entendre c'est la la voix de Jordane.

Jordane : t'as pas à t'en faire si Alex dis qu'il ne t'arrivera rien c'est qu'il ne t'arrivera rien.

Éva : oui tu peux avoir confiance en elle et en nous aussi on te protégera contre ce dégénéré et n'importe qui d'autre.

Moi : oui ils ont raison tu peux avoir confiance en moi, en nous princesse dis je avec mon sourire séducteur.

Bien évidemment, je ne l'ai pas fais exprès mais je vois que ses joues deviennent pourpres ce qui me fait encore plus sourire fière de l'effet que je lui fais.

Jordane : et tu sais Mariane, mine de rien Alex ici présente à beaucoup de pouvoir.

Mariane: vraiment ?

Jordane : oui, c'est la baronne de la mafia italienne et la nouvelle chef du cartel de Colombie dit il avec beaucoup de fierté.

Mariane : tu veux dire que c'est...

Jordane : oui, la baronne mais plus connu sous le nom du Diable Delgado.

Après sa révélation je ressentis quelques chose de bizarre dans la poitrine comme un mauvais pressentiment.

La jeune fille dans mes bras jusqu'à présent, se raidir. Je la regarde, ses yeux qui était à l'intemps remplies de peure et de larmes était désormais remplies de haine et de dégoût à mon égard je suppose. Je le sens très mal surtout avec le regard et la vitesse à laquelle elle s'est détaché de mes bras.

Elle est debout devant moi, je ne comprends rien elle me regarde, je l'a regarde et sans que je voie quelques chose venir je ressois une claque monumentale.  Toujours sur le choc de ce qu'elle m'a donné, je ressens une forte douleur sur l'autre joue. Elle viens de me donner une deuxième Claque.

LA BARONNE ET LA FEMME DU TRAITREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant