LA BARONNE ET LA FEMME DU TRAITRE

chapitre 20

POV ALEXANDRA

Je me suis préparer pour les réunions et tout mais une chose est sûre j'étais d'une humeur massacrante. J'arrivais pas à croire que tout ça n'était qu'un rêve un putain de rêve.

Je suis dans mon bureau énervé et frustré que jamais. Quelqu'un frappe à la porte après mon approbation c'est Jordane qui entre.

Moi: t'as trouvé les types qui m'ont tirés déçu ?

Jordane : oui et ils sont au nombre de cinq.

Moi: très bien vois'y mes souffre douleur.

Jordane : je comprends on y va quand tu veux

Moi : allons'y ils vont me le payer ces chiens.

Je me lève de ma chaise, je suis Jordane et nous sortons du bureau. Après quelques minutes de marche nous arrivons au sous sol.

Jordane : Viens ils sont là

Ça sens le sang, la peur, la souffrance et la torture l'enfer quoi mais mon enfer. D'un seul coup mon sourire psychopathe apparaît je suis comme un enfant le jour de Noël.

J'entre dans la salle et les cinq hommes sont ligoté et le sourire aux lèvres si seulement ils savaient ce qui les attentes si seulement.

Moi: salut les gars alors comme ça c'est vous qui vouliez ma peau et celle de ma femme ?

??1: Ah comme on dit la mauvaise herbe ne meurt jamais ahahaha vous avez vue les gars cette pute se prend pour une caïde c'est tellement marrant dit il en rigolant et faisant rigoler les autres.

Moi: Berlin tu peux prendre ma veste et m'aidé avec ma montre et mes bagues ?

Berlin : toute suite capo

??1 : les gars regardés moi ce PD il remu la queue devant une femme en parlant de queue tu voudrais pas sucer la mienne ? Et ils rigolent à gorge déployée.

Berlin : capo

Moi: t'inquiète pas je vais me charger d'eux et tu peux demander à ma femme de m'attendre dans le grand salon après ? Donne lui tout ce qu'elle te demande.

Berlin : d'accord capo amusez vous bien ! Dit il avec un sourire

Moi: j'y conte bien dis je avec mon aire de psychopathe.

Lorsqu'ils vue mon regard le petit rigolo calma son rire et les autres après.

??1: tu crois que tu nous fais peur ? T'es qu'une femme et rien d'autre une pute qui se joue les caïde.

Moi : vraiment une femme qui se joue les caïde ? Dis Celui qui est ligoté comme une saucisse et dont la vie dépend de mon humeur. Je suis vraiment une pute qui va décidé de ton avenir supposé homme dominant. Maintenant la femelle va de faire découvrir l'enfer pure dis je en souriant en pliant les manches de machemise.

Je m'approche de l'un d'entre eux le plus jeune je suppose. Je pose ma main sur son cou et caresse sa gorge je vois de la peur et la terreur dans son regard.

??1: Macky, petit frère je crois qu'elle veut te baiser dit il en rigolant.

Macky : grand frère j'ai peur ! Dit il en se mettant à pleurer je suis vraiment désolée madame cap......

Il ne termine par sa phrase et je lui arrache la gorge à main nue. Il raigne un silence de mort dans la pièce seul les brouille d'agonie de "Macky " résonne.

Moi: voilà un de moins une bonne chose de fête. Très bien à qui le tour ?

AAAAAAAAAAAAAAH MACKY