chapitre 26

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POV MARIANE

Alex: l'ancien chef de la Drago Rosa Nera était mon père c'est moi qui l'ai tué et j'ai pris un malin plaisir lorsque je vidais mon chargeur sur lui où plutôt c'est ce que je croyais.

Je la regarde complètement sans voix. Elle a tué son père et à pris son pied en le faisant ? Elle rigole pas vrai mais à son regard et son sourire c'est pas le cas.

Je reprends mes esprits je me souviens qu'elle ne fait rien pour rien  ne tue par à tore et à travers. Je suis sûre que quelque chose à dû la pousser à faire ça. Je dégluti avant de reprendre la parole.

Moi : dis moi ce qui a engendré ça parce que je suis persuadé qu'il a eu quelques chose.

Alex : pourquoi tu penses ça ?

Moi: moi je te connais je sais que tu n'agit pas sans raison alors dis moi je pose ma main sur sa joue et je caresse avec mon pouce. N'est pas peur dis moi tout.

Elle embrasse la paume de ma main et ses yeux s' humidifie sous l'émotion.

Alex : lorsque je suis né tout le monde pensais que je t'étais un garçon et lui il était content Parce que c'est ce que qu'il voulait à la base. Alors il m'a élevé comme tel et tout allait bien. Elle reprend son souffle. Lorsque je suis entré dans l'adolescence tout a changé. J'ai commencé à développer des caractéristiques du genre féminin et lorsque qu'il a découvert que j'étais intersexe, il est devenu fou c'est là que mon Calvet à commencer.

Je sens sa voix trembler, elle tremble elle a peur je peux voir de petits larme s'échapper de ses yeux.

Moi: ça va aller on arrête

Alex : non si je dois guérie un jour il faut que je laisse tout sortir.

Moi: D'accord je lui prends la main elle prend encore de l'oxygène et reprend.

Alex : à partir de là il a commencé à me torturer en disant que j'étais un garçon et j'allais lui succéder. Toutes les cicatrice sur moi c'est lui qui les a fait. Je sais pas ce que ce type m'a pas fait subir torture physique comme mental, insulte, humiliation, mépris, haine gratuite j'ai eu la totale. Il y'avait une fille que j'aimais beaucoup au collège il l'a abattu sous mes yeux. Et une autre encore qui était ma petite amie au lycée j'ai retrouvé sa tête devant ma chambre en rentrant de l'école. Il a tué toutes les femmes et personnes qui se sont trop approcher de moi. Elle se mets à pleurer....leur souvenir me hante chaque nuit je me dis que si je m'étais pas approché d'eux ils seraient tous encore en vie. Dit elle en pleurant de plus belle.

Je ne l'avais jamais vu aussi vulnérables et triste. Ne supportant plus de la voire aussi je la prends dans mes bras.

Moi: vas'y pleure tu n'as pas besoin d'être toujours forte je suis là maintenant et je veillerais sur toi.

Alex : Mais un jour il a osé poser la main sur ma mère là s'était la goutte d'eau. Je l'ai trouvé entrain d'etrangler ma mère. J'ai pas réfléchi, j'ai pris une arme et j'ai vidé le chargeur sur lui après ça je me suis sentie libérer d'un point immense. C'est ainsi qu'à 17 ans je devenu chef de la mafia et avec tout ce qu'il m'a appris j'ai vite imposé ma domination et je suis devenu le montre qu'il voulait que je sois à savoir sans fois ni loi.

Moi: mais tu ne les pas. Tu protége les gens, tu veilles sur eux et tes hommes serais prés à donner leur vie pour toi.  De plus à mes yeux tu es juste Alexandre, mon Alexandre.

Je pose mes mains sur chacune de ses joues et la force à me regarder droit dans les yeux. Ses yeux sont plain de tristesse ce qui me déchire le cœur.

LA BARONNE ET LA FEMME DU TRAITREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant