chapitre 19

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POV ALEXANDRA

(Chapitre explicite)

Putain je suis foutu à l'aide...

Mariane : je t'écoute et t'as pas intérêt à me mentir dit elle en resserrant sa prise.

Moi : d'accord d'accord. En faite c'est personne ces filles juste des ex plans culs.

Mariane : ah vraiment ? Donc tu laisses tes putes se balader chez moi ?

Mais merde qu'est-ce qui ce passe ? Je rêve où elle est jalouse ? Elle voulait pas me tuer à la base pour se venger ? Je suis complètement perdue là.

Moi: non m'dame c'est juste que peut être qu'elles ont appris l'attentat. Mais je rêve où vous êtes jalouse madame Delgado ? C'est nouveau dis je avec un sourire coquin. Et elle me lâche aussi tôt. Et je respire enfin.

Mariane: Moi ? Être jalouse de ces vieilles fille là ? Même pas en rêve dit elle en boudant.

Moi: ahahaha vous en êtes sûr m'dame ?

Mariane: oui je suis sûre et en plus elles sont moche. J'ai pas à être jalouse d'elles.

Moi: là c'est pas faux ahahaha.

Mariane : arrête de te foutre de ma tête toi dit elle en boudant.

Moi: je ne me moque pas promis tu es splendide t'es la plus belle femme qui m'a été donnée de rencontrer.

L'atmosphère a aussi tôt changer je pourrais pas l'expliquer il était plus doux, plus accueillant.

Mariane: arrête de dire n'importe quoi toi m'énerve pas dit elle boudeuse et me lance un coussin.

Je m'approche d'elle lentement et caresse sa joue .

Moi: regarde moi s'il plaît ! Regard moi dans les yeux et dis moi si je te ment où te mentirais.

Elle me regarde, je l'a regarde on se regarde et ses yeux devis sur mes lèvres et elle mord les tien et ça me rend dingue.

Marine: je ne crois pas

Et elle pose ses lèvres sur les miennes. La sensation est indescriptible, j'en ai des frissons dans le dos. Ses lèvres sont douce et ils on un goût d'un fruit exotique mais je sais pas lequel. Et là elle commence à mouvever ses lèvres et c'est une explosion dans mon bas ventre.

Je sais pas ça fait combien de temps qu'on s'embrassent mais c'est tellement bon que je veux pas m'arrêter mais le manque d'oxygène nous y oblige.

Mariane: je suis désolé j'aurais pas dû faire ça.

Elle se lève et voulut partir mais je la retiens et la tire contre moi mais j'ai pas sû géré ma force elle se retrouve couché sur moi.

Moi: je suis désolée j'ai pas fait exprès

Elle ne dis pas un mot, elle m'embrasse de nouveau et c'est encore plus beau que le premier. Mais très vite ça part en sucette. Normal, elle est nue aussi ça me rend complètement folle. Je suis dure comme de la pierre.

Moi: eh eh bébé du calme dis je essoufflé

Mariane : Quoi ? Tu veux pas de moi ?

Moi : quoi ? T'as vu comment je bende ?

Mariane : le problème est réglé alors.

Et elle m'embrasse de nouveau avec plus de fougue d'ardeur Mais je l'arrête encore.

Moi : calme toi et regarde moi dans les yeux t'es sûre que tu est d'accord avec tout ça ?

Mariane: oui je veux être tienne.

LA BARONNE ET LA FEMME DU TRAITREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant