chapitre 32

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POV ALEXANDRA

??: tu t'envoie en l'aire en plain combat ? C'est décevant ma fille dit il avant de tirer.

J'ai pas le temps de réagir tout ce que j'ai pu fais est de me mettre devant elle pour l'a protéger. Je reçois la balle dans le ventre, la sensation est très désagréable.

Moi: putain, sal enfoiré de merde dis je en grogrant de douleur me tenant le ventre.

Marianne est complètement en panique lorsqu'elle constate que je pisse le sang. Je pose ma main maculé de sang sur sa joue pour la rassurer mais je crois que s'était pas une bonne idée.

Marianne : mon Dieu Alex tu saingne dit elle en pleurant à chaude larme et celà me déchire le cœur.

Moi: t'inquiète pas c'est juste une petite blessures de rien du tout pleur pas.

Je l'embrasse mais la voix putride de mon géniteur se fait entendre.

Marero : désolé de vous déranger Roméo et Juliette mais j'ai mon petit fils à récupérer si vous voulez bien dit il en s'approchant de nous.

Je me met instinctivement devant Marianne pour la protéger de cette enfoiré. Ça phrase résonne comme un appel à la mort pour l'un d'entre nous.  

Avec le peut de force que j'ai, je lève mon arme et lui tire dessus mais dommage la balle lui a effleurée le bras.

Marero : Luis tu viens de tirer sur ton père là ?

Moi: fait un pas de plus et je te grille la cervelle sal merde.

??: c'est plutôt moi qui vais te griller la cervelle salope de merde.

Je reconnaîtrais cette voie entre mille, je tourne la tête et le voir avec une automatique à la main, les yeux rouges de tristesse, de rage et de haine.

Alors je recule en mettant Marianne derrière moi pour la protéger nous sommes dos au mur fasse à eux et mon arme pointer sur ces deux fils de pute.

Je suis vraiment mal je pisse toujours le sang dû à la balle dans mon ventre et j'ai du mal à respirer à cause de la douleur dans mes côtes. Il faut gagner du temps.

Moi: parfait la vermine au grand complet je dis avec mon plus beau sourire. Scott qu'est-ce qui y'a ? Tu as mal ? C'est la même chose que j'ai ressenti lorsque tu m'as enlever ma femme.

Scott : tu l'a tué comme on abat un vulgaire chien errant dit il avec rage.

Moi: oui parce que c'est comme ça pour tout ceux qui on le malheur de me trahir ils doient mourir mais ne soit pas triste tu vas rejoindre ton chère et tendre Gabriel.

Marero : là là là ça suffit les scènes de ménages j'ai un petit fils à récupérer alors fermé là et toi Luis rend moi cette jeune fille.

Moi: va te faire foutre, c'est sur mon cadavre tu me l'a prendra je dis avec rage et je peux sentir Marianne trambler.

Marero : dans ce cas comme tu ne veux pas entendre raison je vais résoudre le problème alors prépare toi à mourir il dit avec un petit sourire démoniaque. Je hais ce type de toute mes forces.

En une fraction de seconde j'entends deux cours de feu par réflexe je ne bouge pas pour protéger Marianne et ferme les yeux en attendant le moment fatidique mais rien ne vient.

Lorsque je réouvre les yeux je vois Marero se tenir le ventre, du sang lui sort de la bouche avant qu'il ne titube pour s'écrouler au sol j'entends une voie que je reconnais je me retourne.

Moi: Jordan

Jordan : creve sal enfoiré de merde !

Je n'ai jamais vue Jordan aussi cool que dans cette situation. Je lui fais mon plus beau sourire se type viens de me sauver le cul une fois de plus.

LA BARONNE ET LA FEMME DU TRAITREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant