« si tu payes pas l'addition j'monte chez toi pour une soustraction »
PDV DE JORDAN
Je la regarde boire son 3e verre de vodka. Il était dans les environs de minuit. Depuis le premier verre, elle tenait plus. Elle était déjà saoule la meuf. Elle bougeait dans tous les sens.
Enzo est allé fumer un peu plus loin. Brad et Nancy sont entrain de danser ensemble et ce con d'Ahmed est là à lui parler. Il ne l'empêche même pas de boire. J'en ai marre.
Je me lève et la tire vers moi
Moi: t'as un problème à boire comme ça ?
Ahmed: doucement Jordan
Moi: NON ELLE EST SAOULE ELLE TIENT PAS L'ALCOOL PUTAIN
Anne: lâches moi je bois si je veux
Ahmed: bon je vais pas l'empêcher de vivre! Elle est majeure et puis ciao je m'ennuie.Il se dirige vers la sortie.
Anne: t'as vu? Vous êtes trop cons! Vous savez qu'il a eu une longue histoire à cause de l'alcool et du shit mais vous l'amenez ici
Je comprends mieux mais il pouvait refuser c'est pas un enfant
Moi: la fermes regardes toi? T'es en mode pute.com
Anne: bah laisses moi faire la puteElle me regarde en souriant au max, me pousse et se dirige vers la piste de danse. Alors là non elle dansera jamais ici. Je me dirige vers elle et la tire à l'extérieur.
Anne: hey arrêtes là t'es chiant
Moi: tg on rentre
Anne: me dis pas quoi faireJe me tourne vers elle en furie avec le regard tueur je crois parce qu'elle a vite fermé sa gueule.
J'envoie un message à Enzo pour lui dire que nous sommes rentrés et je traîne cette folle dans ma caisse. Je prends une bouteille d'eau et la lui donne.
PDV D'ANNE
Je retire ces putains de talons j'en ai marre. J'avais trop mal à la tête c'était insupportable. J'avais tellement chaud. Ma vision se brouille quelques instants après et puis plus rien.
PDV DE JORDAN
Elle s'est endormie. Elle est tellement mignonne en vrai.
Je me gare dans le garage et la réveille. Elle se lève difficilement et sort de la voiture avec ses talons en main. Je la suis par derrière en regardant bien son petit boule. Il est pas mal quand même! Et dire que j'aime les gros terma..
Moi: tu dors dans ma chambre
Elle: et Enzo?
Moi: m'en fou
Elle: okJe comprends pas son comportement elle avait l'air vraiment chaude. Elle monte dans ma chambre et je la suis. Elle va aux toilettes pendant que je mets mon téléphone à charger, je retire mon t-shirt et mon jean, restant maintenant en boxer. Elle sort ensuite et me fixe.
Moi: mates bien
Elle: je peux toucher ?
Moi: nanElle grogne de mécontentement et à ma grande surprise elle retire sa robe, restant maintenant en sous vêtements devant moi. Je descends mes yeux vers ce string beaucoup trop sexy à mon goût. Il épousait parfaitement ses courbes qui sont pas extras mais archi canons. Puis je remonte vers sa poitrine et ce soutien-gorge...
Elle: mates bien
Elle me fait un clin d'œil et pose sa robe sur le canapé à côté. J'arrivais même pas à ouvrir la bouche, je la regardais, je l'admirais.
Elle s'approche ensuite dangereusement de moi et pose ses mains sur mon torse.
Moi: oh tu fais quoi là ?
Elle: ça te dit on parle affaires ?Elle pouffa ensuite de rire. Ce qui me ramena à la raison. Elle était complètement saoule, ce que j'avais oublié. Je retire ses mains de mon torse et m'assois sur le lit sous son regard étonné.
J'aimerais bien que cette situation se reproduise mais lorsqu'elle ne sera plus aussi saoule.
Ce qu'elle a bu avait dû réveiller ses pulsions tant endormie. C'est pas facile d'être clean faut l'avouer. Je ne volerai jamais ces années d'abstinence, sa fierté, en plus sous l'effet de l'alcool. Mais le fait qu'elle me le demande plus tard ne me dérangerait pas.
Moi: eh me touches plus je t'ai déjà dis que t'étais pas mon style. J'te toucherai pas même si t'étais la dernière fille qu'il resterait dans ce monde donc rhabilles toi et dors
Elle: alors comme ça je suis la dernière fille que tu toucherais dans ce monde?
Moi: ouais mais non, même si tu l'étais j'te toucherai pasElle me fixe toujours et quelques secondes plus tard, elle vient s'asseoir sur moi en mettant ses pieds de part et d'autre. Elle s'approche de mon visage, me prend par le cou et pose ses lèvres sur les miennes. Elles étaient impatientes et pleines d'envie. Je ne l'arrêtai pas! Sur le coup j'en avais envie donc nos lèvres bougeaient maintenant ensemble. Mes mains étant baladeuses, je caressai ses cuisses, ensuite son dos en titillant ce soutien-gorge que j'aimerais tant lui retirer avant de m'arrêter sur ses fesses. A chaque toucher elle frissonnait et j'adorais ça.
Nous continuons encore pendant quelques minutes et elle se mit à basculer ses hanches de haut en bas provoquant mon érection. C'était la première fois que mon entrejambe réagissait aussi vite. Encore une fois je me sentais comme un goss qui voyait pour la première de la meuf.
Je posai une main sur son cou enfin d'accentuer notre baiser et la descendis ensuite pour bien lui malaxer les fesses de mes deux mains.
Elle continua ses gestes tout en m'embrassant puis descendit une de ses mains sur mon entrejambe par dessus mon boxer laissant celui-ci durcir encore plus. Je pense qu'elle le ressentît car elle se mit à grogner de désir avant de revenir à mes lèvres. Ce grognement qui m'avait ramené à la réalité. Elle est SAOULE putainnn Jordan t'es entrain d'abuser d'elle.
Je me détachai donc d'elle immédiatement.
Moi: stop.... T'es saoule on ... peut pas faire ça
J'étais essoufflé notre petite accolade était vraiment chaude.
Elle ne dit rien et se couche juste en me donnant une belle vue sur son dos. Je me lève et vais dans la salle de bain. Vous imaginez bien pourquoi. La meuf vient de me rouler une belle pèle.
Je retourne ensuite dans la chambre, elle dormait déjà. Je ferme les rideaux et viens me poser sur le lit. Je la ramène dans mes bras et pose mes mains sur ses hanches. A mon toucher elle frissonne encore. J'aimais vraiment l'effet que j'avais sur elle; même étant endormie son corps répondait au mien. Je fermai les yeux en me repassant les images de cette soirée. Mdr elle n'assumera jamais le lendemain.
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Love de Paris mais surtout love de lui
Romance« Il m'a détruit mais je l'aime » Perdre son estime n'est pas un choix, tout comme tomber amoureuse de lui n'en avait pas été un...