chapitre 7 : soumissions

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Je n'ai peut-être pas gagné la bataille mais je vais gagné la guerre.

La guerre est déclarée. Tout ça à cause d'une volvic fraise ? Exactement. On touche pas à ma boisson et à mon argent. Ça m'appartient. J'ai horreur qu'on me pique ce qui m'appartient.

Ça fait déjà 1 heures que j'attends dans une salle. Je suis tout seul sauf que au bout d'une heure. La porte s'ouvre avec colère.

Elle rentre avec le professeur qui on dirait à une idée derrière la tête.

- alors vous allez vous installer l'un en face de l'autre. Vous vous dites que vous êtes désolé et je vous laisse partir.

- hors de question !

- je suis d'accord. Je ne vais pas m'excuser non plus.

Si elle ne s'excuse pas alors pourquoi moi je le ferais ? On s'installe et on se regarde droit dans les yeux. Le professeur nous laisse rien qu'à deux et ferme la classe à double tours. Nous disons rien pendant à peu près 45mn voir 50mn

- Jaden walton.. comme les daltons ? C'est toi averell dalton ? Le grand con la ?

- je te permets pas. Toi comme Bridget Jones, la vieille fille célibataire ?

Je la vois faire une grimace. Elle me regarde vraiment mal. Je crois que j'ai touché un point sensible.

- point sensible ? Dis-je en rigolant.

- ce que t'oublie c'est que la vieille fille comme tu dis fini ou elle doit choisir entre deux hommes

- et toi tu oublie que averell arrive quand même à trouver des idées pour s'échapper de prison !

- Pff tu confonds avec Joe. T'es nul !

- et toi tu regarde les Daltons ?

- et toi Bridget Jones ?

- ça te regarde pas crasseuse. Dis-je en froncant les sourcils tout comme elle.

Vient un grand silence mais on ne se lâche pas du regard. Elle inspire puis elle dit :
- je m'excuse si tu avoue que tu es en posture de soumissions par rapport à moi parce que je suis beaucoup trop intelligente et forte pour toi.

- pardon ?

Elle se fou de ma gueule. Dans le sens figuré et littérale. Elle veut que je pete un plomb.

- tu es soumis comparé à moi.

- et puis quoi encore. Je ne suis pas soumis à toi. T'es folle ?!

- OK alors avoue que tu es stupide car tu t'es battus pour une volvic fraise !

-qui était la mienne !

- j'ai bu dedans donc elle m'appartient maintenant ! Tu vas pas reboir dedans !

- qui sait ?!

- après tu me traite de crasseuse ?! C'est toi le dégueulasse !

Je me lève de colère et elle se leve aussi. On fronce tout les deux en se regardant. Je me rassois pour me calmer.

- tu vas faire quoi même ? Dit-elle en étant sérieuse.

PDV BELLA

- t'es une incapable, tu vas rien me faire ! Dit-il sur de lui.

Je me lève de ma chaise et je vais vers lui. Je m'arrête à 1 centimètre. Je le regarde droit dans les yeux. Je le vois sourire à pleine dents. Je sens son souffle sur mon visage. Mes mains sont posées devant moi et tout près devant lui pour lui faire une genre de barrière.

La seconde d'après, il se lève et me regarde droit dans les yeux puis une main se pose sur le ras de mon dos et l'autre sur ma nuque. Il me tire plus vers lui. Il me regarde sérieusement.

- arrête de me prendre pour un con d'accord ?

- quand tu arrêteras d'agir comme un con.. ah oui ! Tu le seras toujours

- Bella ne cherche pas quelque chose que tu n'arriveras pas contrôler ou de t'en défendre.

- c'est des menaces ?

- et ça marche.

Il s'écarte un peu mais je le rattrape par le col avec ma main. Je le rapproche plus près que la première fois. Mes lèvres et les siennes sont à 2 centimètres.

- tu crois faire peur ou m'intimider ? Tu fais bien le contraire, tu me donne envie de continuer.

- alors continue.. je m'en contrefous.

Nous étions collé l'un contre l'autre et j'étais à moitié sur la table. Il met sa main sur le ras de mon dos et je tenais son col. Quand soudain, la porte s'ouvre. C'était le professeur.

- alors vous vous battez puis vous êtes aussi proche. Vous êtes vraiment bizarre les jeunes.

- il m'a menacé.

Je le lâche et je le pousse. Il tombe parterre en arrière. Je pars de la salle puis lui aussi. Il passe en me poussant aussi. Il garde une allure calme et sur de lui.

Il sort du lycée et je fais de même. J'espère juste que sa voiture va avoir des problèmes. J'espère qu'il va crever de soif. J'espère qu'il va tomber. J'espère qu'il va se faire agresser par un chien sur le chemin. J'espère que la prochaine fois, quand il me verra. Il se reverra en train de pleurer pour ses testicules

C'est la guerre à partir de maintenant. Je ne compte plus le laisser respirer. C'est la guerre.

À SUIVRE ...

|| not be your boyfriend || Jaden Walton Où les histoires vivent. Découvrez maintenant